Né le 20 février 1920 à Bourbriac (Côtes-du-Nord, Côtes-d’Armor), fusillé le 8 juin 1944 à Rennes (Ille-et-Vilaine) ; résistant au sein des FTPF.

Léon Le Parc était le fils de Louis Le Parc, cultivateur, et de Marie Augustine Le Faucheur, ménagère. Au moment de son arrestation il demeurait rue de l’Abbaye à Guingamp (Côtes-du-Nord, Côtes-d’Armor).
Engagé dans les FTP, Léon Le Parc fut arrêté le 16 mai 1944 par les Allemands dans la rafle de Maël-Pestivien. Le 7 juin 1944, il fut condamné à la peine de mort par le tribunal militaire allemand FK 748 de Rennes et fusillé le lendemain à la caserne du Colombierà Rennes avec trente et un autres camarades dont huit Républicains espagnols. Célibataire, Léon Le Parc avait vingt-quatre ans.
Son nom figure sur Le monument du Colombier à Rennes, . On ignore où il fut inhumé.
Site des Lieux de Mémoire du Comité pour l’Étude de la Résistance Populaire dans les Côtes-du-Nord
Sources

SOURCES : Arch. Dép. Côtes-d’Armor, 1045W50. – DAVCC, Caen (Notes Jean-Pierre Besse et Thomas Pouty). – Louis Pichouron, Mémoires d’un partisan breton, Presses universitaires de Bretagne, 1969. – Alain Prigent, Serge Tilly, « Les fusillés et les décapités dans les Côtes-du-Nord (1940-1944) », Les Cahiers de la Résistance populaire dans les Côtes-du-Nord, no 12, 2011. – État civil, Bourbriac.

Alain Prigent, Serge Tilly

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