PELLERIN Élie
Né le 5 mai 1889 à Aumagne (Charente-Inférieure, Charente-Maritime), fusillé le 11 mars 1941 à La Rochelle, au fort de Chef-de-Baie, à La Pallice (Charente-Inférieure, Charente-Maritime) ; cultivateur.
Élie Pellerin était père de deux filles, Jeanine (née en 1914) et Simone (née en 1915).
Il fut arrêté par les Allemands, sur dénonciation, le 25 février 1941 à son domicile pour avoir, le 20 juin 1940, soit deux jours avant la signature de l’armistice et cinq jours avant son entrée en vigueur, tiré avec un fusil de chasse sur des aviateurs allemands qui avaient sauté en parachute au retour d’une mission de bombardement sur Bordeaux (Gironde).
Il fut condamné à mort le 5 mars 1941 par le tribunal militaire allemand de la Feldkommandantur 540 de La Rochelle siégeant à Matha (Charente-Inférieure, Charente-Maritime). Il a été transféré à La Rochelle où il fut passé par les armes le 11 mars 1941 au fort de Chef-de-Baie, à La Pallice.
Il fut reconnu « Interné Politique » le 11 juillet 1963.
Il fut arrêté par les Allemands, sur dénonciation, le 25 février 1941 à son domicile pour avoir, le 20 juin 1940, soit deux jours avant la signature de l’armistice et cinq jours avant son entrée en vigueur, tiré avec un fusil de chasse sur des aviateurs allemands qui avaient sauté en parachute au retour d’une mission de bombardement sur Bordeaux (Gironde).
Il fut condamné à mort le 5 mars 1941 par le tribunal militaire allemand de la Feldkommandantur 540 de La Rochelle siégeant à Matha (Charente-Inférieure, Charente-Maritime). Il a été transféré à La Rochelle où il fut passé par les armes le 11 mars 1941 au fort de Chef-de-Baie, à La Pallice.
Il fut reconnu « Interné Politique » le 11 juillet 1963.
Sources
SOURCE : DAVCC, Caen.
Dominique Tantin
