Né le 3 août 1923 à Vesoul (Haute-Saône), fusillé le 2 février 1944 après condamnation à la citadelle de Besançon (Doubs) ; repousseur sur aluminium ; résistant, membre des FTPF.

Veuf et père d’un enfant, Georges Barrey habitait à Echenoz (Haute-Saône). Il était repousseur sur métaux aux établissements Métaux Ouvrés à Vesoul (Haute-Saône).
Il s’engagea dans la Résistance le 15 juin 1943 au sein des FTPF, membre de la compagnie La Marseillaise commandée par Eugène Berthoz (alias Marceau).
Arrêté le 1er novembre 1943 à Echenoz à son domicile par la Sipo-SD pour « activité de franc-tireur » (attaques contre la Feldgendarmerie et sur voies ferrées), Georges Barrey fut jugé et condamné à mort le 25 janvier 1944 par le tribunal militaire allemand de Vesoul (FK 661) siégeant à Besançon.
Georges Barrey a été fusillé le 2 février 1944 à la citadelle de Besançon parmi sept autres victimes. (Voir Albin Belleli.)
Il fut déclaré mort pour la France. Son nom figure sur le monument commémoratif de la citadelle de Besançon (Doubs), sur le monument aux morts d’Echenoz-la-Méline et sur le mémorial de la Résistance à Vesoul "La résistance à ses 687 martyrs 1940 - 1945" (Haute-Saône).
Sources

SOURCE : DAVCC, Caen (Notes Thomas Pouty) — mémorial genweb fiche bp-5073472.

Delphine Leneveu, Michel Thébault

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