LE BARZIC Léon, Louis
Né le 10 juillet 1879 à Guerlesquin (Finistère), fusillé le 8 juin 1944 à la caserne du Colombier à Rennes (Ille-et-Vilaine) ; notaire ; membre des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Sur la stèle des fusillés de la caserne du Colombier
Sur le monument aux morts d’Elven
SOURCE : Photos Jean-Pierre et Jocelyn Husson
Léon Le Barzic était le fils de Francis Louis Claude Marie Martial Le Barzic et de Marie Élisa Le Gall, décédés. Notaire à Elven (Morbihan), il épousa le 22 juin 1909 à Lanmeur (Finistère) Anne Marie Josèphe Marthe Le Coz. Le couple eut trois enfants nés en 1911, 1920 et 1933.
Membre du réseau Overlord avec le grade de sous-lieutenant, Il rejoignit le 1er Bataillon FFI du Morbihan commandé par Raymond Le Vigouroux [pseudonyme dans la Résistance : commandant Hervé). Arrêté le 1er avril 1944 à Elven par la Gestapo, Léon Le Barzic fut accusé de transporter des armes et d’héberger des parachutistes alliés. Transféré à la prison Jacques-Cartier de Rennes, il fut condamné à mort le 7 juin 1944 comme franc-tireur par le tribunal militaire allemand de la Feldkommandantur de Rennes FK 748.
Il a obtenu le mention « Mort pour la France » et le statut d’Interné Résistant lui a été attribué au mois d’octobre 1951.
En Ille-et-Vilaine à Rennes, le nom de Léon Le Barzic est inscrit sur la stèle des fusillés de la caserne du Colombier et sur le monument de la Résistance érigé dans le cimetière de l’Est.
Dans le Morbihan, il figure sur la liste « Victimes civiles » du monument aux morts d’Elven où une rue porte son nom.
Membre du réseau Overlord avec le grade de sous-lieutenant, Il rejoignit le 1er Bataillon FFI du Morbihan commandé par Raymond Le Vigouroux [pseudonyme dans la Résistance : commandant Hervé). Arrêté le 1er avril 1944 à Elven par la Gestapo, Léon Le Barzic fut accusé de transporter des armes et d’héberger des parachutistes alliés. Transféré à la prison Jacques-Cartier de Rennes, il fut condamné à mort le 7 juin 1944 comme franc-tireur par le tribunal militaire allemand de la Feldkommandantur de Rennes FK 748.
Il a obtenu le mention « Mort pour la France » et le statut d’Interné Résistant lui a été attribué au mois d’octobre 1951.
En Ille-et-Vilaine à Rennes, le nom de Léon Le Barzic est inscrit sur la stèle des fusillés de la caserne du Colombier et sur le monument de la Résistance érigé dans le cimetière de l’Est.
Dans le Morbihan, il figure sur la liste « Victimes civiles » du monument aux morts d’Elven où une rue porte son nom.
Sources
SOURCES : Arch. Dép. Morbihan, 2W 15 920. — DAVCC, Caen, 21 P 261739 et 21 P 473703. — SHD, Vincennes, GR16 P 345654. — J.-P. Besse, T. Pouty, Les fusillés (1940-1944), op. cit. — Notes et photographies de Jean-Pierre et Jocelyne Husson. — État civil, Rennes (acte de décès) ; Elven (transcription de l’acte de décès).
Alain Prigent, Serge Tilly
