MICHAUD Émile [parfois écrit MICHAUX]
Né le 18 janvier 1901 à Paris (XXe arr.), fusillé comme otage le 21 février 1942 à Moulin-sous-Touvent (Oise) ; commerçant ; militant communiste de Livry-Gargan (Seine-et-Oise, Seine-Saint-Denis).
Fils de Joseph Michaud, homme de peine, et de Henriette Joncourt, ménagère, Émile Michaud se maria à Sevran (Seine-et-Oise, Seine-Saint-Denis) le 28 février 1925, avec Elizabeth Offermans, puis à Paris (IIIe arr.) le 17 décembre 1927 avec Marie Priolet.
Émile Michaud résidait à Livry-Gargan (Seine-et-Oise) quand il fut arrêté le 20 octobre 1941 par la gendarmerie de Pantin, pour « propagande anti-allemande », et emprisonné à la prison du Cherche-Midi, à Paris.
À la suite de l’attentat de Rouen contre des soldats allemands, le 4 février 1942, Émile Michaud fut transféré comme otage au camp de Royallieu à Compiègne (Oise). Fusillé le 21 février 1942 à la Butte aux Zouaves à Moulin-sous-Touvent, avec Léon Durville et Arthur Lefebvre, il a été inhumé à Carlepont.
Son nom est inscrit sur les stèles de Moulin-sous-Touvent (six otages communistes fusillés en février et mars 1942) et de Carlepont.
Monographie de lieu d’exécution : Compiègne-Royallieu, Moulin-sous-Touvent, forêt de Carlepont (Oise) : février-mai 1942
Émile Michaud résidait à Livry-Gargan (Seine-et-Oise) quand il fut arrêté le 20 octobre 1941 par la gendarmerie de Pantin, pour « propagande anti-allemande », et emprisonné à la prison du Cherche-Midi, à Paris.
À la suite de l’attentat de Rouen contre des soldats allemands, le 4 février 1942, Émile Michaud fut transféré comme otage au camp de Royallieu à Compiègne (Oise). Fusillé le 21 février 1942 à la Butte aux Zouaves à Moulin-sous-Touvent, avec Léon Durville et Arthur Lefebvre, il a été inhumé à Carlepont.
Son nom est inscrit sur les stèles de Moulin-sous-Touvent (six otages communistes fusillés en février et mars 1942) et de Carlepont.
Monographie de lieu d’exécution : Compiègne-Royallieu, Moulin-sous-Touvent, forêt de Carlepont (Oise) : février-mai 1942
Sources
SOURCES : DAVCC, Caen (notes Thomas Pouty). – Mémorial GenWeb. – État civil.
Frédéric Stévenot