CHENUET Albert
Né le 20 août 1920 à Brinon-sur-Sauldre (Cher), fusillé le 16 juin 1944 à Bourges ; journalier ; résistant FTP et FFI.
Albert Chenuet
Né de père inconnu et de Juliette Chenuet, résistant, Albert Chenuet était un journalier domicilié à Brinon-sur-Sauldre, sa ville natale.
Il rejoignit les F.T.P. en janvier 1943 à Paris. Recherché par la Gestapo, il revint dans le Cher où il continua la lutte avec le groupe "Liberté" des maquis de Sologne - Arrêté par les Allemands le 9 juin 1944 à Presly (Cher) alors qu’il était en mission et en possession d’une arme. Il fut interné à la prison du Bordiot à Bourges où, bien que torturé, il ne livra aucun nom. Condamné à mort par le tribunal allemand de Bourges FK 776, il a été fusillé au polygone de Bourges le 16 juin 1944. Arrêté, condamné et exécuté sous l’identité d’Albert DUPUIS, né le le 20/08/1925 à Bégard (22) et inscrit sous cette identité sur la Stèle commémorative à l’intersection de l’avenue et de la rue des Bigarelles à Bourges (18) F.F.I. du Cher issu de la Cie F.T.P.F. Jacquet.
Son cadavre fut retrouvé parmi treize autres corps dans le charnier des Bigarelles. Le 16 février 1945, son beau-père, Adrien Depardieu, journalier à Brinon-sur-Sauldre, reconnut le cadavre n°7 (taille 1 m 80, cheveux chatain clair).
Il fut homologué au grade de sous-lieutenant FFI. Croix de Guerre 1939-1945.
Il rejoignit les F.T.P. en janvier 1943 à Paris. Recherché par la Gestapo, il revint dans le Cher où il continua la lutte avec le groupe "Liberté" des maquis de Sologne - Arrêté par les Allemands le 9 juin 1944 à Presly (Cher) alors qu’il était en mission et en possession d’une arme. Il fut interné à la prison du Bordiot à Bourges où, bien que torturé, il ne livra aucun nom. Condamné à mort par le tribunal allemand de Bourges FK 776, il a été fusillé au polygone de Bourges le 16 juin 1944. Arrêté, condamné et exécuté sous l’identité d’Albert DUPUIS, né le le 20/08/1925 à Bégard (22) et inscrit sous cette identité sur la Stèle commémorative à l’intersection de l’avenue et de la rue des Bigarelles à Bourges (18) F.F.I. du Cher issu de la Cie F.T.P.F. Jacquet.
Son cadavre fut retrouvé parmi treize autres corps dans le charnier des Bigarelles. Le 16 février 1945, son beau-père, Adrien Depardieu, journalier à Brinon-sur-Sauldre, reconnut le cadavre n°7 (taille 1 m 80, cheveux chatain clair).
Il fut homologué au grade de sous-lieutenant FFI. Croix de Guerre 1939-1945.
Sources
SOURCES : Musée de la résistance nationale, fichier de l’Association des familles de fusillés. - Arch. Dép. Cher, 1 W 362. — Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 126330 (nc). — MémorialGenWeb.
Iconographie
MémorialGenWeb
Claude Pennetier, Dominique Tantin
