VANNIER Lucien
Né le 25 septembre 1925 à Monceau-les-Mines (Saône-et-Loire), fusillé le 19 mai 1944 à Besançon (Doubs) ; manœuvre ; résistant.
Lucien vannier était le fils de Antoine monteur électricien et de Anna Miuzzi, sans profession. Il était célibataire et domicilié chez ses parents 14 rue des Pêcheurs, à Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire). Il exerçait le métier de manœuvre.
Condamné par une cour martiale de la Milice le 19 mai 1944, Lucien Vannier a été fusillé le jour même à douze heures, parmi huit résistants, à la prison de la Butte à Besançon : ANTONIETTI Jean , BERTHOLINO Georges, BLAISE Maurice, DURAND Jean, GELEY Marius, GREUSARD Robert et LE BERRIGAUD Gilbert.
Il obtint la mention la mention « Mort pour la France » (Avis du ministre des Anciens combattants en date du 26 février 1946) et le titre de "Déporté et interné résistant (DIR), dossier GR 16 P 585572 (nc).
Il reçut la Médaille de la Résistance à titre posthume par décret du 8 septembre 1961 (JO du 22/09/1961).
Leurs noms sont inscrits sur la plaque commémorative inaugurée le 19 mai 1946, à droite du portail principal de la Maison d’arrêt située 5 rue Pergaud - "Dans cette prison, huit martyrs de la résistance ont été lâchement assassinés le 19 mai 1944 par une Cour martiale à la solde de l’ennemi".
Condamné par une cour martiale de la Milice le 19 mai 1944, Lucien Vannier a été fusillé le jour même à douze heures, parmi huit résistants, à la prison de la Butte à Besançon : ANTONIETTI Jean , BERTHOLINO Georges, BLAISE Maurice, DURAND Jean, GELEY Marius, GREUSARD Robert et LE BERRIGAUD Gilbert.
Il obtint la mention la mention « Mort pour la France » (Avis du ministre des Anciens combattants en date du 26 février 1946) et le titre de "Déporté et interné résistant (DIR), dossier GR 16 P 585572 (nc).
Il reçut la Médaille de la Résistance à titre posthume par décret du 8 septembre 1961 (JO du 22/09/1961).
Leurs noms sont inscrits sur la plaque commémorative inaugurée le 19 mai 1946, à droite du portail principal de la Maison d’arrêt située 5 rue Pergaud - "Dans cette prison, huit martyrs de la résistance ont été lâchement assassinés le 19 mai 1944 par une Cour martiale à la solde de l’ennemi".
Sources
SOURCES :SHD Vincennes, GR 16 P 585572 . — Fanny Monin, Les fusillés dans le département du Doubs de 1941 à 1944, mémoire de master 1, Université de Franche-Comté, 2009. — Mémoire des Hommes.— MemorialGenweb.— État civil (acte de décès).
Claude Pennetier, Jean-Louis Ponnavoy
