HEYMONET Léon, Lucien, Marie
Né le 8 janvier 1913 à Villiers-sous-Preny (Meurthe-et-Moselle), mort des suites de ses blessures le 12 septembre 1944 à Langres (Haute-Marne) ; adjudant de gendarmerie ; membre du maquis de Varennes.
Léon Heymonet était le fils de Fernand et de Félicie Guichard. Il épousa Andrée Grosjean et le couple eut deux filles
Mobilisé en 1940 et fait prisonnier, il fut emmené en captivité en Prusse Orientale. Rapatrié, il entra dans la gendarmerie et fut affecté comme adjudant à Langres.
Il rejoignit le maquis de Varennes qui entreprit de nombreux combats en particulier l’attaque d’un train d’essence à Andilly-en-Bassigny. Léon Heymonet fut grièvement blessé le 1er septembre 1944 au début du combat. Il décéda le 12 septembre 1944 à Langres.
Il obtint la mention Mort pour la France. Son nom est inscrit sur des plaques et monuments à Châlons-en-Champagne (Marne, Monument aux Morts tous conflits de la Gendarmerie Nationale), Andilly-en-Bassigny et Varennes-sur-Amance (Haute-Marne) et Villers-sous-Prény (Meurthe-et-Moselle).
Mobilisé en 1940 et fait prisonnier, il fut emmené en captivité en Prusse Orientale. Rapatrié, il entra dans la gendarmerie et fut affecté comme adjudant à Langres.
Il rejoignit le maquis de Varennes qui entreprit de nombreux combats en particulier l’attaque d’un train d’essence à Andilly-en-Bassigny. Léon Heymonet fut grièvement blessé le 1er septembre 1944 au début du combat. Il décéda le 12 septembre 1944 à Langres.
Il obtint la mention Mort pour la France. Son nom est inscrit sur des plaques et monuments à Châlons-en-Champagne (Marne, Monument aux Morts tous conflits de la Gendarmerie Nationale), Andilly-en-Bassigny et Varennes-sur-Amance (Haute-Marne) et Villers-sous-Prény (Meurthe-et-Moselle).
Sources
SOURCES : SHD-AVCC Caen, AC 21 P 54559 et Vincennes, GR 16 P 293282 (à consulter). — Mémoire des Hommes. — MémorialGenWeb. — Notes Jean-Pierre Besse.
Jean-Pierre Besse, Dominique Tantin
