LAROMIGUIÈRE Robert, Pierre, Charles
Né le 22 septembre 1911 à Saint-Félix (Lot), exécuté sommaire le 17 août 1944 à Sainte-Radegonde (Aveyron) ; mineur de charbon dans le bassin houiller de Decazeville (Aveyron) ; résistant (Groupe franc AS et/ou FTPF).
Robert Laromiguière était le fils d’Achille, Gilbert, Antoine Laromiguière et d’Élisa Gibily. Il était marié avec Marguerite, Pascaline, Marie Cardaillac. Mineur de charbon, il résidait à Cransac (Aveyron), route d’Aubin.
Membre du groupe franc (AS) de Cransac (Aveyron) localité du bassin houiller de Decazeville, Robert Laromiguière fut arrêté à la mi-août 1944 près de Montbazens (Aveyron) pour "menées anti-allemandes". Il a été revendiqué aussi par les FTPF car son nom figure sur la plaque commémorative des FTPF de Cransac.
Il fut conduit à la caserne Burloup de Rodez (Aveyron), prison de la Sipo-SD. Le 17 août 1944, il en fut extrait par les Allemands et conduit avec vingt-neuf autres prisonniers afin d’y être exécuté sommairement par un groupe de SS de la Luftwaffe.
Son nom figure sur le monument du mémorial de Sainte-Radegonde, sur le monument aux morts de Cransac, sur la plaque commémorative apposée dans le hall de la mairie de Cransac ("Aux FTPF de Cransac victimes de la barbarie nazie"). En 1945, il fut déclaré "mort pour la France". on décès fut enregistré à Rodez et non à Sainte-Radegonde.
Voir : Lieu d’exécution de Sainte-Radegonde (Aveyron), champ de tir
Membre du groupe franc (AS) de Cransac (Aveyron) localité du bassin houiller de Decazeville, Robert Laromiguière fut arrêté à la mi-août 1944 près de Montbazens (Aveyron) pour "menées anti-allemandes". Il a été revendiqué aussi par les FTPF car son nom figure sur la plaque commémorative des FTPF de Cransac.
Il fut conduit à la caserne Burloup de Rodez (Aveyron), prison de la Sipo-SD. Le 17 août 1944, il en fut extrait par les Allemands et conduit avec vingt-neuf autres prisonniers afin d’y être exécuté sommairement par un groupe de SS de la Luftwaffe.
Son nom figure sur le monument du mémorial de Sainte-Radegonde, sur le monument aux morts de Cransac, sur la plaque commémorative apposée dans le hall de la mairie de Cransac ("Aux FTPF de Cransac victimes de la barbarie nazie"). En 1945, il fut déclaré "mort pour la France". on décès fut enregistré à Rodez et non à Sainte-Radegonde.
Voir : Lieu d’exécution de Sainte-Radegonde (Aveyron), champ de tir
Sources
SOURCES : Arch. com. Rodez, état civil, acte de décès et mention marginale.— Christian Font, Henri Moizet, Construire l’histoire de la Résistance. Aveyron 1944, Rodez & Toulouse, CDDP Rodez, CDHIP Rodez, CRDP Midi-Pyrénées, 1997, 343 p.[p. 229]. — Site Aveyron Résistance, consulté le 26 février 2016. — Site MemorialGenWeb consulté le 26 février 2016.
André Balent
