BAMBERGER Heintz, Gunther, dit Henri BERGER
Né le 3 janvier 1913 à Berlin (Allemagne), exécuté sommairement le 25 juillet 1944 à Rencurel (Isère) ; technicien chimiste ; résistant de l’Armée secrète, homologué Forces françaises de l’Intérieur
Tombe 46, Nécropole nationale de Saint-Nizier-du-Moucherotte (Isère), lieu de mémoire
Photo : Thierry Pinel, Geneanet, sous licence d’usage CC BY-NC-SA 2.0
Juif allemand, Heintz, Gunther Bamberger, dit Henri Berger, était le fils de Georges, et d’Olga, Odile Friedman.
Il épousa Ingeborg, Michèle Levier.
Ils habitaient 7 rue Marceau à Grenoble (Isère) avec la mère d’Heintz Bamberger, veuve.
Il exerçait la profession de technicien chimiste.
Il s’engagea dans la légion étrangère le 8 décembre 1939. Il rejoignit le dépôt commun des régiments étrangers (DCRE) de Bourges (Cher).
Il rejoignit le maquis du Vercors, secteur 8 de l’AS-Isère. Ses services sont homologués à partir du 18 juillet 1944.
Fait prisonnier, il fut sommairement exécuté le 25 juillet 1944 à 15 heures au col de Romeyère, à Rencurel (Isère), en même temps que Léon Frarier, Henri France et Noël Jarrand.
Heintz Bamberger obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué résistant, membre des Forces françaises de l’Intérieur.
Le corps, enterré sur place, fut exhumé le 27 septembre 1944 par des membres des équipes d’urgence de Villard-de-Lans (Isère) et enterré dans le cimetière communal de Rencurel.
Il est maintenant inhumé dans la nécropole nationale de Saint-Nizier-du-Moucherotte (Isère), tombe 46.
Son nom figure sur la station 10 du Chemin de Croix qui part de l’Essarton jusqu’à Valchevrière en passant par Bois Barbu, départementale D215C, à Villard-de-Lans (Isère).
Il figure également sur la liste des victimes établie par le Mémorial de la Shoah à Paris et sur celle établie par le Mémorial de Yad Vashem à Jérusalem (Israël).
Notice provisoire
Voir : Rencurel
Voir : Nécropole nationale de Saint-Nizier-du-Moucherotte
Il épousa Ingeborg, Michèle Levier.
Ils habitaient 7 rue Marceau à Grenoble (Isère) avec la mère d’Heintz Bamberger, veuve.
Il exerçait la profession de technicien chimiste.
Il s’engagea dans la légion étrangère le 8 décembre 1939. Il rejoignit le dépôt commun des régiments étrangers (DCRE) de Bourges (Cher).
Il rejoignit le maquis du Vercors, secteur 8 de l’AS-Isère. Ses services sont homologués à partir du 18 juillet 1944.
Fait prisonnier, il fut sommairement exécuté le 25 juillet 1944 à 15 heures au col de Romeyère, à Rencurel (Isère), en même temps que Léon Frarier, Henri France et Noël Jarrand.
Heintz Bamberger obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué résistant, membre des Forces françaises de l’Intérieur.
Le corps, enterré sur place, fut exhumé le 27 septembre 1944 par des membres des équipes d’urgence de Villard-de-Lans (Isère) et enterré dans le cimetière communal de Rencurel.
Il est maintenant inhumé dans la nécropole nationale de Saint-Nizier-du-Moucherotte (Isère), tombe 46.
Son nom figure sur la station 10 du Chemin de Croix qui part de l’Essarton jusqu’à Valchevrière en passant par Bois Barbu, départementale D215C, à Villard-de-Lans (Isère).
Il figure également sur la liste des victimes établie par le Mémorial de la Shoah à Paris et sur celle établie par le Mémorial de Yad Vashem à Jérusalem (Israël).
Notice provisoire
Voir : Rencurel
Voir : Nécropole nationale de Saint-Nizier-du-Moucherotte
Sources
SOURCES : SHD Vincennes, GR 19 P 38/16 ; GR 16 P 30045 (nc) — AVCC Caen, AC 21 P 12988 (nc) — Le Pionner du Vercors, n° 75, juin 1991 — Mémoire des hommes — Mémorial de la Shoah (Paris) — Mémorial de Yad Vashem, Jérusalem (Israël) — Notes de Robert Serre. — MémorialGenWeb. — État civil
Robert Serre, Jean-Luc Marquer
