FOURRIER Jean
Né le 23 juin 1924 à Aillevillers-et-Lyaumont (Haute-Saône), exécuté sommairement le 29 août 1944 à Vraignes-en-Vermandois (Somme)
Âgé de vingt ans, Jean Fourrier demeurait à Fourdrain ou plus probablement à Noyales (Aisne), près de Guise, où il était FFI.
D’après Grégory Célerse, Jean Fourrier réussit à s’échapper, mais « blessé par balle, [il] va mourir au cours de la nuit alors qu’il a trouvé refuge dans les marais ». Jean Fourrier fut homologué FFI et DIR (GR 16 P 231925). « Tué au combat », il fut reconnu « mort pour la France » à titre militaire (AC 21 P 186764).
D’après Grégory Célerse, Jean Fourrier réussit à s’échapper, mais « blessé par balle, [il] va mourir au cours de la nuit alors qu’il a trouvé refuge dans les marais ». Jean Fourrier fut homologué FFI et DIR (GR 16 P 231925). « Tué au combat », il fut reconnu « mort pour la France » à titre militaire (AC 21 P 186764).
Sources
SOURCES. SHD, dossiers adm. des résistants. — Grégory Célerse, Histoire de la Gestapo. Bruxelles, Lille, Paris, Saint-Quentin, éd. Les Lumières de la ville, Lille, 2013, p. 133. — Arch. dép. Aisne, J 1446. — Sites Internet : Généalogie Aisne ; Mémoire des hommes.
Frédéric Stévenot
