CARTIER Marcel, Paul
Né le 19 juillet 1921 à Serre-Nerpol (Isère), exécuté sommairement le 26 juillet 1944 à Beauvoir-en-Royans (Isère) ; mécanicien ; résistant de l’Armée secrète, homologué Forces françaises de l’Intérieur et interné résistant (DIR).
Marcel, Paul Cartier était le fils de Paul, Édoie, fermier, et de Pauline, Clotilde, Joséphine Falconnet, ménagère, son épouse.
Il épousa Denise, Jeanne Joubert le 6 février 1943 à Vinay (Isère).
Ils eurent un fils.
La famille habitait Villard-de-Lans (Isère) où Marcel Cartier était mécanicien.
Il s’engagea dans la Résistance et rejoignit les rangs du maquis du Vercors, secteur 8 de l’AS-Isère.
Ses services sont homologués à partir du 10 février 1943.
Fait prisonnier après l’ordre de dispersion du 23 juillet 1944, il était parmi les prisonniers internés par les Allemands à Saint-Nazaire-en-Royans (Drôme). Les miliciens, accompagnés de leur égérie, Simone Waro (Provence), se firent remettre ces prisonniers, et les fusillèrent le 26 juillet 1944 au lieu-dit "Les Chaussières", à Beauvoir-en-Royans (Isère).
Marcel Cartier obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué résistant, membre des Forces françaises de l’Intérieur, et interné résistant (DIR).
Il fut décoré de la Médaille de la Résistance à titre posthume.
Il est inhumé dans le caveau familial au cimetière municipal, à Vinay (Isère).
Son nom figure sur le monument commémoratif des fusillés à Beauvoir-en-Royans et sur les monuments aux morts, à Serre-Nerpol, Villard-de-Lans et Vinay (Isère).
Voir Beauvoir-en-Royans (26 juillet 1944)
Il épousa Denise, Jeanne Joubert le 6 février 1943 à Vinay (Isère).
Ils eurent un fils.
La famille habitait Villard-de-Lans (Isère) où Marcel Cartier était mécanicien.
Il s’engagea dans la Résistance et rejoignit les rangs du maquis du Vercors, secteur 8 de l’AS-Isère.
Ses services sont homologués à partir du 10 février 1943.
Fait prisonnier après l’ordre de dispersion du 23 juillet 1944, il était parmi les prisonniers internés par les Allemands à Saint-Nazaire-en-Royans (Drôme). Les miliciens, accompagnés de leur égérie, Simone Waro (Provence), se firent remettre ces prisonniers, et les fusillèrent le 26 juillet 1944 au lieu-dit "Les Chaussières", à Beauvoir-en-Royans (Isère).
Marcel Cartier obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué résistant, membre des Forces françaises de l’Intérieur, et interné résistant (DIR).
Il fut décoré de la Médaille de la Résistance à titre posthume.
Il est inhumé dans le caveau familial au cimetière municipal, à Vinay (Isère).
Son nom figure sur le monument commémoratif des fusillés à Beauvoir-en-Royans et sur les monuments aux morts, à Serre-Nerpol, Villard-de-Lans et Vinay (Isère).
Voir Beauvoir-en-Royans (26 juillet 1944)
Sources
SOURCES : SHD Vincennes, GR 16 P 109326 (nc) ; GR 19 P 38/16. — AVCC Caen, AC 21 P 39082 (nc). — Arch. Dép. Drôme, 132 J 30. — Joseph La Picirella, Témoignages sur le Vercors, 14e édition, 1991, p. 319. — J. Parsus, Malleval, p. 196. — Mémoire des hommes. — Mémorial GenWeb.— État civil.
Robert Serre, Jean-Luc Marquer
