Né le 17 janvier 1913 à Charenton-le-Pont (Seine, Val-de-Marne), tué au combat le 19 août 1944 à la gare de l’Est à Paris (Xe arr.) ; cheminot au dépôt de Paris – La Villette (Xe arr.) ; membre des Forces Françaises Combattantes ; F.F.I.

Fils de Marc Topenot, bourrelier, et de Blanche Guérin, sans profession, Georges Topenot s’était marié le 14 mai 1935 à Paris (XIIe arr.) avec Andrée Palère et vivait 75 boulevard Magenta à Paris (Xe arr.). Il était le 19 août 1944 en compagnie de Jean Dirand sur un quai de la gare de L’Est. Tous deux furent surpris les armes à la main par des soldats allemands. Ils ont été exécutés sur place, les corps étaient emmenés à la morgue de l’Hôpital Saint-Louis (Xe arr.).
Une plaque avec le blason tricolore a été posée sur le lieu, la date de l’exécution indiquée est erronée le 10 août 1944 au lieu du 19 août. Le nom de Georges Topenot figure sur la plaque posée dans la crypte du souvenir dans la gare de l’Est et sur une stèle dans le même lieu dédiée « À la mémoire des agent de la S.N.C.F. tués par faits de guerre ».
Le ministère des Anciens combattants lui attribua la mention « Mort pour la France », Georges Topenot a été homologué membre des Forces Françaises Combattantes (F.F.C.) et F.F.I.
Sources

SOURCES : Arch. PPo. BA 1801. – SHD, Caen AC 21 P 164610. – Bureau Résistance GR 16 P 573618. – Site internet GenWeb. — État civil.

Daniel Grason

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