FLORENTIN Maurice
Né le 15 août 1905 à Salonique (Grèce), exécuté sommairement le 8 juillet 1944 à Portes-lès-Valence (Drôme) ; marchand forain ; victime civile
D’origine juive, Maurice Florentin était le fils de Joseph Florentin et de Sarah Capouano.
Marchand forain, célibataire, il habitait 48 rue Basfroi à Paris XIe arr. (Seine, aujourd’hui Paris).
Il fut arrêté par la police allemande le 28 juin 1944 et fut incarcéré à la prison de Montluc à Lyon (Rhône).
Maurice Florentin fut amené à Portes-lès-Valence (Drôme) où il fut sommairement exécuté, fusillé par les Allemands en représailles de sabotages le 8 juillet 1944.
Il fut officiellement identifié le 17 octobre 1944 par son frère Daniel qui le reconnut formellement sur la photographie n°23 réalisée par le service régional d’identité judiciaire de Lyon.
Le site Mémoire des hommes indique 3 dossiers à son nom, dans la base des victimes civiles, dans celle des internés et déportés et dans celle des militaires décédés pendant la Seconde Guerre mondiale, sans mention d’homologation.
Faute de les avoir consultés, il est pour l’instant difficile de savoir si Maurice Florentin eut une activité dans la Résistance.
Son nom figure sur la stèle commémorative érigée à Portes-lès-Valence.
Le mémorial de la Shoah à Paris et le Mémorial de Yad Vashem à Jérusalem (Israël) le recensent parmi les victimes de la Shoah.
Marchand forain, célibataire, il habitait 48 rue Basfroi à Paris XIe arr. (Seine, aujourd’hui Paris).
Il fut arrêté par la police allemande le 28 juin 1944 et fut incarcéré à la prison de Montluc à Lyon (Rhône).
Maurice Florentin fut amené à Portes-lès-Valence (Drôme) où il fut sommairement exécuté, fusillé par les Allemands en représailles de sabotages le 8 juillet 1944.
Il fut officiellement identifié le 17 octobre 1944 par son frère Daniel qui le reconnut formellement sur la photographie n°23 réalisée par le service régional d’identité judiciaire de Lyon.
Le site Mémoire des hommes indique 3 dossiers à son nom, dans la base des victimes civiles, dans celle des internés et déportés et dans celle des militaires décédés pendant la Seconde Guerre mondiale, sans mention d’homologation.
Faute de les avoir consultés, il est pour l’instant difficile de savoir si Maurice Florentin eut une activité dans la Résistance.
Son nom figure sur la stèle commémorative érigée à Portes-lès-Valence.
Le mémorial de la Shoah à Paris et le Mémorial de Yad Vashem à Jérusalem (Israël) le recensent parmi les victimes de la Shoah.
Sources
SOURCES : AVCC, Caen, AC 21 P 343351 et AC 21 P 450 667 (nc). — SHD, Vincennes, GR 16 P 226388 (nc). — Arch. Dép. Rhône et Métropole, 3460 W 2, 3335 W 22, 3335 W 10. — Cdt Pons, De la Résistance à la Libération, rééd. 1987, p. 273. — Joseph La Picirella, Témoignages sur le Vercors, 14e édition, 1991, p. 197. — Mémoire des hommes. — Mémorial GenWeb. — Mémorial de la Shoah. — Mémorial de Yad Vashem.
Robert Serre, Jean-Luc Marquer
