TUPIN Jean Roger Félicien
Né le 3 avril 1924 à Fraisans (Jura), exécuté sommairement le 27 juillet 1944 à Saligney (Jura) ; domestique de culture ; résistant du maquis Panthère.
Jean Tupin était le fils de Louis Alexandre et de Élisa Léonie Alphonsine Deliot. Il était célibataire et exerçait la profession de domestique de culture.
Il s’engagea au maquis Panthère constitué à partir du 13 juin 1944 au camp des "Belles Charmes" situé sur le mont de Vassange, à Saligney (Jura).
Le 27 juillet au matin le maquis fut encerclé par un détachement de la 157e division d’intervention allemande composé en majorité de cosaques de l’Armée Vlassov. Vers 15h30 Jean Tupin et trois autres camarades, Bernard Bressand*, Marius Pannaux* et Roland Piquet* furent abattus d’une rafale de mitraillette au lieu dit "Aux Bouleaux".
Il est inhumé au carré des corps restitués du cimetière communal de Pesmes (Haute-Saône).
Il obtint la mention "Mort pour la France" transcrite sur son acte de décès le 14 mai 1946 et fut décoré de la Croix de guerre à titre posthume.
Son nom figure sur le monument commémoratif du maquis de Saligney (Jura) et sur le monument aux morts de Pesmes (Haute-Saône).
Il s’engagea au maquis Panthère constitué à partir du 13 juin 1944 au camp des "Belles Charmes" situé sur le mont de Vassange, à Saligney (Jura).
Le 27 juillet au matin le maquis fut encerclé par un détachement de la 157e division d’intervention allemande composé en majorité de cosaques de l’Armée Vlassov. Vers 15h30 Jean Tupin et trois autres camarades, Bernard Bressand*, Marius Pannaux* et Roland Piquet* furent abattus d’une rafale de mitraillette au lieu dit "Aux Bouleaux".
Il est inhumé au carré des corps restitués du cimetière communal de Pesmes (Haute-Saône).
Il obtint la mention "Mort pour la France" transcrite sur son acte de décès le 14 mai 1946 et fut décoré de la Croix de guerre à titre posthume.
Son nom figure sur le monument commémoratif du maquis de Saligney (Jura) et sur le monument aux morts de Pesmes (Haute-Saône).
Sources
SOURCES : André Besson "Les maquis de Franche-Comté, ch. 14, La tragédie de Saligney pp. 165 à 188, éd. France-Empire 1998". — Mémorial GenWeb. — État civil.
Jean-Louis Ponnavoy
