Né le 13 janvier 1924 à Soissons (Aisne), tué à l’ennemi le 2 septembre 1944 à Saint-Quentin (Aisne) ; garde-mobile de réserve ; FFI.

Fils d’Édouard Joseph Billecoq et de Cécile Jeanne Gabrielle Roze, Roger Billecoq était domicilié rue Clotaire II.
Membre des FFI (secteur A), tout en étant à la « Compagnie républicaine de sécurité n° 21 » [2] en service commandé sur les Champs-Élysées, lors des combats pour la libération de Saint-Quentin.
Reconnu « Mort pour la France » (AC 21 P 23379), par décision du 28 mai 1945, le nom de Roger Billecoq figure sur le monument aux morts de Saint-Quentin.
Sources

SOURCES. État civil de Saint-Quentin (acte de décès n° 778). — Sites Internet : Mémorial GenWeb ; Généalogie Aisne ; Mémoire des hommes.

Frédéric Stévenot

[1Selon le site « Mémoire des hommes » ; il s’agit plus probablement des GMR, ou groupes mobiles de réserve, puisque les CRS ont été créées par le décret du 8 décembre 1944. Roger Billecoq est d’ailleurs garde-mobile de réserve.

[2Selon le site « Mémoire des hommes » ; il s’agit plus probablement des GMR, ou groupes mobiles de réserve, puisque les CRS ont été créées par le décret du 8 décembre 1944. Roger Billecoq est d’ailleurs garde-mobile de réserve.

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