BOIZARD Ferdinand, Désiré
Né le 31 octobre 1900 à Neuvy-le-Roi (Indre-et-Loire), tué le 2 septembre 1944 à Saint-Quentin (Aisne) ; marié ; appariteur ; FFI.
Fils de Ferdinand Victor Boizard, gagiste, vingt-huit ans, et d’Aurélie Gatien, vingt-trois ans, son épouse, également gagiste, demeurant tous deux à Neuvy-le-Roi, décédés en 1944. Ferdinand Désiré Boizard se maria à Lehaucourt (Aisne) le 17 novembre 1924, avec Valentine Marie Roland. Le couple habitait à Saint-Quentin, au 64 de l’avenue Aristide-Briand.
Ferdinand Boizard mourut à vingt heures vingt dans la rue du Moulin, lors des combats pour la libération de la ville.
« Tué au combat », il fut reconnu « Mort pour la France » (AC 21 P 25858), par décision du 9 mai 1946. Ferdinand Boizard fut homologué FFI (GR 16 P 6875).
Son nom figure sur le monument aux morts de Saint-Quentin.
Ferdinand Boizard mourut à vingt heures vingt dans la rue du Moulin, lors des combats pour la libération de la ville.
« Tué au combat », il fut reconnu « Mort pour la France » (AC 21 P 25858), par décision du 9 mai 1946. Ferdinand Boizard fut homologué FFI (GR 16 P 6875).
Son nom figure sur le monument aux morts de Saint-Quentin.
Sources
SOURCES. SHD, dossiers adm. résistants. — Sites Internet : Mémorial GenWeb ; Généalogie Aisne ; Mémoire des hommes. — État civil de Neuvy-le-Roi et de Saint-Quentin (acte de décès n° 784).
Frédéric Stévenot
