Né le 7 octobre 1925 à Saint-Quentin (Aisne), mort le 3 septembre 1944 à Saint-Quentin ; célibataire ; métreur ; FFI.

Fils de Georges Victor Lorentz, métreur-vérificateur, né à Saint-Quentin le 26 avril 1894, et de Marie Lydia Béatrix Langlet, son épouse, sans profession, née à Holnon (Aisne) le 3 avril 1897, Georges Lorentz est né au domicile de ses parents, au 15 rue Calixte-Souplet. En septembre 1944, il résidait à Saint-Quentin au domicile de ses parents, mais au 2 rue Charles-Gomard.

Probablement blessé lors des combats pour la libération de la ville, Georges Lorentz mourut au 68 de la rue Émile-Zola [2], le 3 septembre à onze heures. Il fut inhumé dans le cimetière nord de la ville.

Le ministère des Anciens Combattants le reconnut « Mort pour la France » (AC 21 P 74983), par décision du 9 août 1945, et « soldat des Forces françaises de l’intérieur » le 17 juillet 1953. Guy Lorentz fut homologué FFI (GR 16 P 376760).
Son nom figure sur le monument aux morts de la commune et sur une plaque commémorative de l’école Jumentier.
Sources

SOURCES. SHD, dossiers adm. résistants. — Sites Internet : Mémorial GenWeb ; Généalogie Aisne ; Mémoire des hommes. — État civil de Saint-Quentin (acte de naissance n° 1048 ; acte de décès n° 775).

Frédéric Stévenot

[1L’adresse correspond probablement aux hospices de la ville.

[2L’adresse correspond probablement aux hospices de la ville.

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