Né le 13 mai 1912 à Neuilly sur Seine, massacré le 9 juin 1944 à Argenton-sur-Creuse (Indre) ; industriel.

Fils d’Eugène, Emile, Marius Lambert, décédé, et de Gabrielle, Jeanne, Odette, Germaine Lassimonne, sa veuve ; Jacques Lambert était industriel, domicilié 15 rue de Franqueville Paris XVIème ; il fut tué au pont du bélier, à l’entrée d’Argenton, en tentant d’échapper aux balles, dans l’après-midi du 9 juin 1944, jour de l’attaque d’Argenton par les Allemands, alors qu’il rentrait chez lui à Gargilesse à motocyclette ; marié à Marie Thérèse Pereira, deux enfants ; déclaration de décès de Marie Thérèse Pereira, son épouse. Reconnu « Mort pour la France ». Son nom figure sur le Mémorial du 9 juin 1944 à Argenton-sur-Creuse.


Le 9 juin 1944 à Argenton-sur-Creuse
Sources

SOURCES : n°71 du registre des décès d’Argenton-sur-Creuse. — Pierre Brunaud, Argenton-sur-Creuse dans la guerre, 2008. 

Michel Gorand

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