HELVIC Nicolas
Né le 21 janvier 1883 à Villers-Stoncourt (Moselle annexée) ; mort le 28 janvier 1944 au Sonderlager de Metz-Queuleu (Moselle annexée) ; contremaître ; résistant du Groupe Mario.
Marié, Nicolas Helvic habitait Semécourt (Moselle annexée). Il entra au Groupe Mario animé par l’instituteur Jean Burger*qui regroupait principalement des militants communistes et des syndicalistes cégétistes mosellans dans la lutte contre les Allemands par des actions de propagandes antinazies, des sabotages dans les usines, des passages de prisonniers de guerre, la récupération d’armes…
Pour son implication dans ce mouvement, il fut arrêté le 16 janvier 1944, interné yeux bandés et mains liées au camp spécial de la Gestapo installée au fort de Metz-Queuleu et fut tué à coups de crosse le 28 janvier 1944.
Récupéré à la morgue du cimetière de l’Est à Metz, il fut inhumé au cimetière de Semécourt. Son nom figure sur la plaque commémorative « A la mémoire des victimes de la barbarie nazie » installée depuis 1977 à l’entrée de camp d’internement réhabilité.
Voir Sonderlager de Metz-Queuleu (Moselle annexée)
Pour son implication dans ce mouvement, il fut arrêté le 16 janvier 1944, interné yeux bandés et mains liées au camp spécial de la Gestapo installée au fort de Metz-Queuleu et fut tué à coups de crosse le 28 janvier 1944.
Récupéré à la morgue du cimetière de l’Est à Metz, il fut inhumé au cimetière de Semécourt. Son nom figure sur la plaque commémorative « A la mémoire des victimes de la barbarie nazie » installée depuis 1977 à l’entrée de camp d’internement réhabilité.
Voir Sonderlager de Metz-Queuleu (Moselle annexée)
Sources
SOURCES : DAVCC, dossier statuts — Ascomémo-Hagondange, fichier ADIRP — Léon Burger, Le Groupe Mario, Metz, imp. Hellenbrand, 1965, p. 6.
Philippe Wilmouth
