CHAPELOT Louis, Léonard
Né le 5 septembre 1900 à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne), massacré le 10 juin 1944 à Oradour-sur-Glane ; victime civile.
Louis était le fils de Jean (né le 15 mars 1848 et décédé le 17 août 1902, à Oradour-sur-Glane), maçon, et de son épouse Marguerite née Chatenet (née le 18 novembre 1860, à Cieux et décédée le 29 février 1944, à Oradour-sur-Glane), journalière. Ses parents s’étaient mariés le 11 mai 1877 à Cieux. Son père était veuf en premières noces de Jeanne Valérie Courbarien (née le 14 mars 1853 et décédée le 9 août 1875, à Oradour-sur-Glane), qu’il avait épousé le 26 janvier 1875 à Oradour-sur-Glane.
Il était le cadet d’une fratrie de dix enfants, Marguerite (née le 14 février 1878), Jean-Baptiste (né le 14 août 1880 et décédé le 14 décembre 1908), François né le 24 novembre 1882 et décédé le 6 décembre 1918, à Saint-Junien) Caporal du 4e bataillon du génie, 107e compagnie, mort pour la France 14-18, époux de Catherine Marie Giroux, Marguerite (née le 25 décembre 1884), Marguerite (née le 13 août 1887) veuve de Louis Bousquet, épouse d’André René Avril, Marie Rose (née le 16 décembre 1889) épouse de Louis Cluzeau, Louis (né le 22 août 1892 et décédé le 18 février 1899), Jean (né le 8 décembre 1894 et décédé le 15 juin 1899), Anne Louise (née le 1er février 1899 et décédée le 20 juillet 1913), tous nés à Oradour-sur-Glane.
Au recensement de 1936, il est domicilié avec sa mère veuve et ses frères et sœurs, au Bourg d’Oradour-sur-Glane.
Il fut victime du massacre perpétré par les SS du 1er bataillon du 4e régiment Der Führer de la 2e SS-Panzerdivision Das Reich, mitraillé puis brûlé dans la grange Beaulieu dans laquelle les hommes furent massacrés.
l fait partie des 52 corps identifiés pour lequel un acte de décès put être établi.
Louis Chapelot obtint la mention « Mort pour la France » par jugement du tribunal de Rochechouart du 10 juillet 1945.
Voir Oradour-sur-Glane
Il était le cadet d’une fratrie de dix enfants, Marguerite (née le 14 février 1878), Jean-Baptiste (né le 14 août 1880 et décédé le 14 décembre 1908), François né le 24 novembre 1882 et décédé le 6 décembre 1918, à Saint-Junien) Caporal du 4e bataillon du génie, 107e compagnie, mort pour la France 14-18, époux de Catherine Marie Giroux, Marguerite (née le 25 décembre 1884), Marguerite (née le 13 août 1887) veuve de Louis Bousquet, épouse d’André René Avril, Marie Rose (née le 16 décembre 1889) épouse de Louis Cluzeau, Louis (né le 22 août 1892 et décédé le 18 février 1899), Jean (né le 8 décembre 1894 et décédé le 15 juin 1899), Anne Louise (née le 1er février 1899 et décédée le 20 juillet 1913), tous nés à Oradour-sur-Glane.
Au recensement de 1936, il est domicilié avec sa mère veuve et ses frères et sœurs, au Bourg d’Oradour-sur-Glane.
Il fut victime du massacre perpétré par les SS du 1er bataillon du 4e régiment Der Führer de la 2e SS-Panzerdivision Das Reich, mitraillé puis brûlé dans la grange Beaulieu dans laquelle les hommes furent massacrés.
l fait partie des 52 corps identifiés pour lequel un acte de décès put être établi.
Louis Chapelot obtint la mention « Mort pour la France » par jugement du tribunal de Rochechouart du 10 juillet 1945.
Voir Oradour-sur-Glane
Sources
SOURCES : Liste des victimes, Centre de la Mémoire d’Oradour-sur-Glane. — Guy Pauchou, Dr Pierre Masfrand, Oradour-sur-Glane, vision d’épouvante, Limoges, Lavauzelle, 1967, liste des victimes, pp. 138-194. — Mémorial GenWeb. — Archives État civil de la Haute-Vienne, actes de naissances, mariages, décès, recensements.
Dominique Tantin, Isabel Val Viga
