GENESTÉ Jean-Baptiste
Né le 28 octobre 1923 à Lagraulière (Corrèze), exécuté sommairement le 23 juillet 1944 à Sussac (Haute-Vienne) ; cultivateur ; résistant, agent de liaison.
Depuis 1937, René Geneste résidait dans la commune de Salon-la-Tour. Après être revenu de Jeunesse et Montagne, organisation créée au mois d’août 1940, il se rapprocha vite de la Résistance et ravitailla des camps de maquisards. Il participa à plusieurs sabotages et fut même à l’origine d’un camp, qui plus tard devait porter son nom.
Le 16 juillet 1944, lors de l’attaque de Sussac (Haute-Vienne), alors qu’il rentrait de mission à bicyclette, il tomba entre les mains d’une patrouille allemande au Breuil, commune de Meilhards, à proximité de son habitation. Bien qu’ayant été cruellement maltraité dans un garage, il garda le silence. Le 23 juillet, il fut achevé de plusieurs balles dans la tête, dans un chemin à Sussac, avec un de ses camarades.
Son nom est inscrit à Sussac avec 14 autres sur le monument commémoratif « à la gloire des combattants volontaires de la Résistance victimes du nazisme ».
Le 16 juillet 1944, lors de l’attaque de Sussac (Haute-Vienne), alors qu’il rentrait de mission à bicyclette, il tomba entre les mains d’une patrouille allemande au Breuil, commune de Meilhards, à proximité de son habitation. Bien qu’ayant été cruellement maltraité dans un garage, il garda le silence. Le 23 juillet, il fut achevé de plusieurs balles dans la tête, dans un chemin à Sussac, avec un de ses camarades.
Son nom est inscrit à Sussac avec 14 autres sur le monument commémoratif « à la gloire des combattants volontaires de la Résistance victimes du nazisme ».
Sources
SOURCES : France, 11 février 1945. — MémorialGenWeb.
Gilbert Beaubatie
