Né le 4 octobre 1919 à Grand-Champ (Morbihan), exécuté le 13 juillet 1944 à Saint-Pierre-Quiberon (Morbihan) ; employé auxiliaire des Postes ; FFI.

Sur le monument aux morts </br>du cimetière de Plescop
Sur le monument aux morts
du cimetière de Plescop
Sur la plaque commémorative</br>apposée à l'entrée de la crypte</br>du Fort Penthièvre
Sur la plaque commémorative
apposée à l’entrée de la crypte
du Fort Penthièvre
Sur le monument des fusillés</br>du Fort Penthièvre
Sur le monument des fusillés
du Fort Penthièvre
Sur le plateau de la Garenne à Vannes
Sur le plateau de la Garenne à Vannes
Dans le carré militaire du cimetière de Calmont à Vannes
Dans le carré militaire du cimetière de Calmont à Vannes
Sur le monument aux morts </br>du bourg de Plescop
Sur le monument aux morts
du bourg de Plescop
SOURCE
Photos Jean-Pierre et Jocelyne Husson
ŒAlbert Cadoret était le fils de Guillaume Marie Cadoret et de Jeanne Marie Guillevic, cultivateurs à Grand-Champ (Morbihyan). Célibataire, il était domicilié à Vannes (Morbihan), où il exerçait la profession d’auxiliaire des Postes.

Il s’engagea dans les Forces françaises de l’intérieur au sein du 8e Bataillon FFI (ORA) du Morbihan, commandé par Eugène Caro [pseudonyme dans la Résistance : commandant Eugène]. Sa fiche sur le site Internet Mémoire des hommes ne fait pas mention de son exécution au Fort Penthièvre et le déclare décédé le 2 juillet 1944 à Saint-Pierre-Quiberon (Morbihan). Cependant l’acte de décès dressé à l’état civil de Saint-Pierre-Quiberon le 23 juin 1945 fait état de la découverte de son corps « fusillé au Fort Penthièvre en Saint-Pierre-Quiberon, le décès paraissant remonter au 13 juillet 1944 ».
Albert Cadoret est inhumé à Vannes dans le carré militaire du cimetière de Calmont.
Il a obtenu la mention « Mort pour la France » et la Médaille de la Résistance lui a été attribuée à titre posthume par décret du 2 septembre 1959, publié au JO du 13 septembre 1959.

À Saint-Pïerre-Quiberon, son nom est inscrit sur le monument commémoratif du Fort Penthièvre et sur la plaque apposée à l’entrée du tunnel où les corps des suppliciés du 13 juillet 1944 ont été emmurés.
Il figure aussi à Plescop (Morbihan) sur les monuments aux morts du bourg et du cimetière, et à Vannes sur une stèle érigée à la mémoire des « Résistants-Déportés politiques-Fusillés » près du monument aux morts, sur le plateau de la Garenne.
Sources

SOURCES : AVCC, Caen, AC 21 P 36644 — Mémorial GenWeb — Site Internet Les Amis de la Résistance du Morbihan, ANACR-56. — État civil, Grand-Champ (acte de naissance) ; Saint-Pierre-Quiberon (acte de décès).

Jean-Pierre Husson, Jocelyne Husson

Version imprimable