TUFFIGO Maxime, Alfred
Né le 11 février 1926 à Saint-Pierre-Quiberon (Morbihan), exécuté le 13 juillet 1944 à Saint-Pierre-Quiberon ; sans profession ; résistant, FFI.

Maxime Tuffigo
SOURCE : Photographie communiquée par Christine Legagneux


Sur le monument des fusillésdu Fort Penthièvre


Sur la plaque commémorativeapposée à l’entrée de la cryptedu Fort Penthièvre

À Saint-Pierre-Quiberon


Sur le monument aux mortsde Saint-Pierre-Quiberon


Sur le mémorial des FFI à Auray
SOURCE : Photos Jean-Pierre et Jocelyne Husson
Maxime Tuffigo était le fils de Louis Tuffigo, marin, et de Rose Alphonsine Henry. Célibataire, il était domicilié chez ses parents à Kerbourgnec en Saint-Pierre-Quiberon (Morbihan).
Il rejoignit les Forces française de l’intérieur au sein du 2e Bataillon FFI (ORA), commandé par Yves Le Garrec [pseudonyme dans la Résistance : commandant Yves].
Arrêté le 29 juin 1944 à la ferme du Cosquer-en-Plaudren (Morbihan) et incarcéré à la prison de Vannes (Morbihan), il fit partie des cinquante détenus conduits le 12 juillet 1944 au Fort Penthièvre, commune de Saint-Pierre-Quiberon (Morbihan), et exécutés le lendemain, deux par deux, les mains liées, après avoir été horriblement torturés.
L’acte de décès dressé à l’état civil de Saint-Pierre-Quiberon le 22 juin 1945 fait état de la découverte de son corps le 16 mai 1945, « fusillé au Fort Penthièvre en Saint-Pierre-Quiberon, le décès paraissant remonter au 13 juillet 1944 ».
Maxime Tuffigo a été inhumé dans le cimetière de Saint-Pierre-Quiberon.
Il a été reconnu « Mort pour la France » et a été homologué FFI. En 1947, il a été cité à titre posthume à l’ordre du Corps d’armée et la Croix de guerre avec étoile de vermeil lui a été décernée.
À Saint-Pierre-Quiberon, son nom est inscrit sur le monument commémoratif du Fort Penthièvre et sur la plaque apposée à l’entrée du tunnel où les corps des suppliciés du 13 juillet 1944 furent emmurés.
Il figure aussi sur le monument aux morts de Saint-Pierre-Quiberon où une place porte son nom et à Auray sur le monument commémoratif dédié aux FFI du 2e Bataillon du Morbihan.
Il rejoignit les Forces française de l’intérieur au sein du 2e Bataillon FFI (ORA), commandé par Yves Le Garrec [pseudonyme dans la Résistance : commandant Yves].
Arrêté le 29 juin 1944 à la ferme du Cosquer-en-Plaudren (Morbihan) et incarcéré à la prison de Vannes (Morbihan), il fit partie des cinquante détenus conduits le 12 juillet 1944 au Fort Penthièvre, commune de Saint-Pierre-Quiberon (Morbihan), et exécutés le lendemain, deux par deux, les mains liées, après avoir été horriblement torturés.
L’acte de décès dressé à l’état civil de Saint-Pierre-Quiberon le 22 juin 1945 fait état de la découverte de son corps le 16 mai 1945, « fusillé au Fort Penthièvre en Saint-Pierre-Quiberon, le décès paraissant remonter au 13 juillet 1944 ».
Maxime Tuffigo a été inhumé dans le cimetière de Saint-Pierre-Quiberon.
Il a été reconnu « Mort pour la France » et a été homologué FFI. En 1947, il a été cité à titre posthume à l’ordre du Corps d’armée et la Croix de guerre avec étoile de vermeil lui a été décernée.
À Saint-Pierre-Quiberon, son nom est inscrit sur le monument commémoratif du Fort Penthièvre et sur la plaque apposée à l’entrée du tunnel où les corps des suppliciés du 13 juillet 1944 furent emmurés.
Il figure aussi sur le monument aux morts de Saint-Pierre-Quiberon où une place porte son nom et à Auray sur le monument commémoratif dédié aux FFI du 2e Bataillon du Morbihan.
Sources
SOURCES : AVCC, 21 P 274326. — SHD, Vincennes, GR 16 P 579961. — Photo et informations communiquées par Christine Legagneux, nièce de Maxime Tuffigo. — Mémorial GenWeb.— Site Internet Les Amis de la Résistance du Morbihan, ANACR-56. — État civil, Saint-Pierre-Quiberon (acte de décès).
Jean-Pierre Husson, Jocelyne Husson