BURET Jean, Edmond
Né le 4 mars 1925 à Dijon (Côte-d’Or), exécuté sommairement le 17 août 1944 à Dijon (Côte-d’Or) ; ouvrier en chaussures ; résistant de Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Il était le fils de Ferdinand, âgé de 29 ans, télégraphiste et de Marie-Louise Roy, âgée de 24 ans, ouvrière d’État. Il était célibataire et travaillait comme ouvrier en chaussures.
Il entra dans la Résistance aux Forces françaises de l’Intérieur (FFI), au maquis de Sombernon. Il fut exécuté par la Gestapo le 17 août 1944 à 5h00, au lieu-dit « Rendez-vous des Chasseurs », au nord de Dijon sur la RN 74 en compagnie de Maurice Pellequer dit "Lancier", Louis Gérard, Jean Lochegnies et Maurice Pillot.
Déclaré comme inconnu, son acte de décès en donne un signalement très précis : « âgé vingt-cinq ans environ ; taille : un mètre soixante dix ; cheveux châtains, sourcils de même couleur et assez fournis ; pantalon gris à rayures blanches rapiécé dans sa partie inférieure, avec de la toile marron ; veste en toile noire ; chevalière en métal blanc à l’annulaire gauche, maillot de corps bleu, slip blanc tricoté à la main, porteur de nu-pieds ».
Il fut identifié par jugement du Tribunal civil de 1ère instance de Dijon le 8 août 1946.
Il fut inhumé au carré des fusillés du cimetière communal des Péjoces, à Dijon.
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite sur l’acte de décès le 9 septembre 1946 et il fut homologué « Déporté et interné résistant ».
Il entra dans la Résistance aux Forces françaises de l’Intérieur (FFI), au maquis de Sombernon. Il fut exécuté par la Gestapo le 17 août 1944 à 5h00, au lieu-dit « Rendez-vous des Chasseurs », au nord de Dijon sur la RN 74 en compagnie de Maurice Pellequer dit "Lancier", Louis Gérard, Jean Lochegnies et Maurice Pillot.
Déclaré comme inconnu, son acte de décès en donne un signalement très précis : « âgé vingt-cinq ans environ ; taille : un mètre soixante dix ; cheveux châtains, sourcils de même couleur et assez fournis ; pantalon gris à rayures blanches rapiécé dans sa partie inférieure, avec de la toile marron ; veste en toile noire ; chevalière en métal blanc à l’annulaire gauche, maillot de corps bleu, slip blanc tricoté à la main, porteur de nu-pieds ».
Il fut identifié par jugement du Tribunal civil de 1ère instance de Dijon le 8 août 1946.
Il fut inhumé au carré des fusillés du cimetière communal des Péjoces, à Dijon.
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite sur l’acte de décès le 9 septembre 1946 et il fut homologué « Déporté et interné résistant ».
Sources
SOURCES : Gilles Hennequin, Résistance en Côte-d’Or, tome 1 p.74.— Mémorial Genweb.— État civil.
Jean-Louis Ponnavoy