Né le 3 août 1898 à Sérignac-sur-Garonne (Lot-et-Garonne), exécuté sommairement le 24 avril 1944 à Toulouse (Haute-Garonne) ; résistant (FTPF) du Lot-et-Garonne.

Louis Devic était domicilié à Nérac (Lot-et-Garonne). Il était marié avec Gabrielle Ponsolle. Le couple avait six enfants dont trois garçons. Tous trois étaient des résistants (FTPF) du Lot-et-Garonne. Il fut, avec son fils Henri, pris dans une rafle (site MemorialGenWeb), ou selon une autre version, arrêtés alors qu’ils volaient des tickets d’alimentation à Vianne (Lot-et-Garonne) en février 1944.
Incarcéré à la prison Saint-Michel de Toulouse (Haute-Garonne), il fut fusillé le 24 avril 1944. Son autre fils, également FTPF, prisonnier à Saint-Michel, réussit à s’échapper alors qu’il allait être déporté par le convoi connu comme le « train fantôme ». Louis Devic fut déclaré mort pour la France. Son nom figure sur le monument aux morts de Nérac et sur la plaque commémorative apposée à l’entrée de la prison Saint-Michel de Toulouse. Il y a à Toulouse une rue Louis Omer-Devic.
Leur famille habite toujours le lieu dit Nazareth à Nérac, où une place porte leurs noms
Sources

SOURCES : Site MemorialGenWeb consulté le 25 juillet 2017. — Renseignements communiqués par Lysiane Chantre.

André Balent, Claude Pennetier

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