CHEREAU Léon joseph
Né le 15 avril 1924 à Cussy-les-Forges (Yonne), mort au combat le 3 août 1944 à Genay (Côte-d’Or) ; cultivateur ; résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI), au maquis Henri Bourgogne.
Léon Chéreau était le fils de Gustave Ernest et de Marie-Louise Loisier, cultivateurs. Il fut célibataire et demeura à Cussy-les-Forges avec ses parents.
Il entra dans la Résistance le 1er juillet 1944 comme soldat des FFI, au maquis Henri Bourgogne.
Le maquis Henri Bourgogne commandé par Henri Camp s’était installé dans les bois de Saint-Loup, à Genay. Le 3 août le maquis fut encerclé par plusieurs milliers de soldats de la Wehrmacht, de russes de l’armée Vlassov et de miliciens. Les maquisards durent se replier sous la couverture d’un groupe d’arrière-garde dont faisait partie Léon Chéreau. Le commandant Henri Camp fut tué à la tête de ses hommes. Léon Chéreau fut tué pendant le combat au lieudit "Voie du gros noyer" en compagnie de Raymond Charlot, à six heures du matin.
Il fut inhumé au cimetière communal, à Cussy-les-Forges (Yonne).
Il obtint la mention "Mort pour la France" transcrite sur l’acte de décès le 28 novembre 1953.
Son nom figure sur le monument aux fusillés et déportés, à Auxerre (Yonne).
Il entra dans la Résistance le 1er juillet 1944 comme soldat des FFI, au maquis Henri Bourgogne.
Le maquis Henri Bourgogne commandé par Henri Camp s’était installé dans les bois de Saint-Loup, à Genay. Le 3 août le maquis fut encerclé par plusieurs milliers de soldats de la Wehrmacht, de russes de l’armée Vlassov et de miliciens. Les maquisards durent se replier sous la couverture d’un groupe d’arrière-garde dont faisait partie Léon Chéreau. Le commandant Henri Camp fut tué à la tête de ses hommes. Léon Chéreau fut tué pendant le combat au lieudit "Voie du gros noyer" en compagnie de Raymond Charlot, à six heures du matin.
Il fut inhumé au cimetière communal, à Cussy-les-Forges (Yonne).
Il obtint la mention "Mort pour la France" transcrite sur l’acte de décès le 28 novembre 1953.
Son nom figure sur le monument aux fusillés et déportés, à Auxerre (Yonne).
Sources
SOURCES : Gilles Hennequin, Résistance en Côte-Or.— Mémorial GenWeb.— État civil (acte de décès).
Jean-Louis Ponnavoy
