SUBERT Benoit, Pierre
Né le 22 février 1914 à Saint-Martin-la-Plaine (Loire), mort au combat le 21 août 1944 à Saint-Martin-La-Plaine (Loire) ; métallurgiste ; soldat des Forces Françaises de l’Intérieur (FFI), appartenant au maquis de Lorette-Grand-Croix de l’Armée Secrète.
Fils de Marius, métallurgiste, et de Joséphine Foison ; marié à Germaine Massy ; métallurgiste ; domicilié quartier Sèvre-Jourdan à Lorette (Loire).
Soldat du 35ème Régiment d’Infanterie pendant son service militaire, il fut rappelé à l’activité le 26 août 1939 et affecté au 38è RI qu’il rejoignit le 2 septembre 1939. Le 30 octobre 1939, il fut renvoyé dans ses foyers comme affecté spécial aux établissements du Duralumin à Rive-de-Gier (Loire). Le 6 juin 1944, il entra comme combattant volontaire dans l’Armée Secrète de la vallée du Gier.
Le 21 août 1944, dans un quartier limitrophe entre les communes de Rive-de-Gier (Loire) et Saint-Martin-la-Plaine (Loire), les FFI affrontèrent une colonne allemande qui descendait de Chazelles-sur-Lyon (Loire) et tentait de gagner Lyon (Rhône). La bataille fit rage sur les bords du Féloin et à Chantelézard où Benoit Subert tomba grièvement blessé. Une riveraine, Joséphine Malosse, tenta de lui porter secours mais ils furent tous deux la cible des tirs ennemis et Benoit succomba. D’autres civils qui accouraient, Jean Beauvoir*, Charles Boverat* et Octavie Buisson*, tombèrent à leur tour sous les balles. Transportée dans l’après-midi à l’hôpital, Joséphine Malosse dut être amputée d’une jambe.
Benoit Subert est mort Pour la France. Son nom figure sur les Monuments aux Morts de Lorette, Rive-de-Gier et Saint-Martin-La-Plaine et sur la stèle commémorative de Chantelézard à Saint-Martin-La-Plaine.
Soldat du 35ème Régiment d’Infanterie pendant son service militaire, il fut rappelé à l’activité le 26 août 1939 et affecté au 38è RI qu’il rejoignit le 2 septembre 1939. Le 30 octobre 1939, il fut renvoyé dans ses foyers comme affecté spécial aux établissements du Duralumin à Rive-de-Gier (Loire). Le 6 juin 1944, il entra comme combattant volontaire dans l’Armée Secrète de la vallée du Gier.
Le 21 août 1944, dans un quartier limitrophe entre les communes de Rive-de-Gier (Loire) et Saint-Martin-la-Plaine (Loire), les FFI affrontèrent une colonne allemande qui descendait de Chazelles-sur-Lyon (Loire) et tentait de gagner Lyon (Rhône). La bataille fit rage sur les bords du Féloin et à Chantelézard où Benoit Subert tomba grièvement blessé. Une riveraine, Joséphine Malosse, tenta de lui porter secours mais ils furent tous deux la cible des tirs ennemis et Benoit succomba. D’autres civils qui accouraient, Jean Beauvoir*, Charles Boverat* et Octavie Buisson*, tombèrent à leur tour sous les balles. Transportée dans l’après-midi à l’hôpital, Joséphine Malosse dut être amputée d’une jambe.
Benoit Subert est mort Pour la France. Son nom figure sur les Monuments aux Morts de Lorette, Rive-de-Gier et Saint-Martin-La-Plaine et sur la stèle commémorative de Chantelézard à Saint-Martin-La-Plaine.
Sources
Sources : Arch. départ. Rhône : Mémorial de l’Oppression, cote 3808W812 – Arch. départ. Loire : registres matricules, année 1934 – Etat-civil de Lorette (Loire).
Michelle Destour
