BOUDIER Maxime
Né le 14 décembre 1921 à Saint-Rambert-en-Bugey (Ain), exécuté sommairement le 10 juin 1944 à Trugny (Côte-d’Or) ; résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Maxime Boudier était le fils d’Alexis Hippolyte Édouard et d’Eugénie Jeannette Forestier. Il était célibataire et demeurait à Serrières (Ain).
Résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI) du Groupe Marius (Saône-et-Loire) ou du Groupe Langlois VR, selon le mémorial Genweb.
Il tomba dans une embuscade avec l’ennemi le 10 juin 1944 et fut lâchement assassiné par les allemands à 12h45 avec ses camarades Georges Lanu, André Petiot et Julien Terriot, sur la route nationale 73, à Trugny (Côte-d’Or).
Il obtint la mention « Mort pour la France » le 23 septembre 1947.
Il fut homologué soldat des Forces françaises de l’intérieur le 10 mars 1948, mention transcrite sur l’acte de décès le 2 avril 1948.
Son nom figure sur les monuments aux morts de Toutenant (Saône-et-Loire) et de Saint-Rambert-en Bugey (Ain), sur la stèle commémorative située au bord de la RD 973, à Trugny (Côte-d’Or), sur la plaque commémorative FFI, à Saint-Bonnet-en-Bresse, sur le monument commémoratif de la Résistance, à Louhans et sur le monument commémoratif, à Verdun-sur-le-Doubs (Saône-et-Loire).
Résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI) du Groupe Marius (Saône-et-Loire) ou du Groupe Langlois VR, selon le mémorial Genweb.
Il tomba dans une embuscade avec l’ennemi le 10 juin 1944 et fut lâchement assassiné par les allemands à 12h45 avec ses camarades Georges Lanu, André Petiot et Julien Terriot, sur la route nationale 73, à Trugny (Côte-d’Or).
Il obtint la mention « Mort pour la France » le 23 septembre 1947.
Il fut homologué soldat des Forces françaises de l’intérieur le 10 mars 1948, mention transcrite sur l’acte de décès le 2 avril 1948.
Son nom figure sur les monuments aux morts de Toutenant (Saône-et-Loire) et de Saint-Rambert-en Bugey (Ain), sur la stèle commémorative située au bord de la RD 973, à Trugny (Côte-d’Or), sur la plaque commémorative FFI, à Saint-Bonnet-en-Bresse, sur le monument commémoratif de la Résistance, à Louhans et sur le monument commémoratif, à Verdun-sur-le-Doubs (Saône-et-Loire).
Sources
SOURCES : Gilles Hennequin Résistance en Côte-d’Or tome IV, Dijon 1997.— Mémorial Genweb.— État civil.
Jean-Louis Ponnavoy