PETIOT André, Émile
Né le 15 janvier 1921 à Bey (Saône-et-Loire), exécuté sommairement le 10 juin 1944 à Trugny (Côte-d’Or) ; résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI) au groupe Marius.
André Petiot était le fils de Jean et de Françoise Bonjour. Il était célibataire.
Il faisait partie de la Résistance aux Forces françaises de l’Intérieur (FFI) du groupe Marius (Saône-et-Loire).
Il tomba dans une embuscade avec l’ennemi le 10 juin 1944 et fut lâchement assassiné par les allemands à 12h45 avec ses camarades Maxime Boudier, Georges Lanu et Julien Terriot, sur la route nationale 73, à Trugny (Côte-d’Or).
Il obtint la mention « Mort pour la France » le 6 août 1945.
Son nom figure sur la stèle commémorative au bord de la RD 973, à Trugny (Côte-d’Or), sur le monument aux morts, à Bey (Saône-et-Loire), sur le monument commémoratif de la Résistance, à Louhans et sur la plaque commémorative des FFI, à Saint-Bonnet-en-Bresse (Saône-et-Loire).
Il faisait partie de la Résistance aux Forces françaises de l’Intérieur (FFI) du groupe Marius (Saône-et-Loire).
Il tomba dans une embuscade avec l’ennemi le 10 juin 1944 et fut lâchement assassiné par les allemands à 12h45 avec ses camarades Maxime Boudier, Georges Lanu et Julien Terriot, sur la route nationale 73, à Trugny (Côte-d’Or).
Il obtint la mention « Mort pour la France » le 6 août 1945.
Son nom figure sur la stèle commémorative au bord de la RD 973, à Trugny (Côte-d’Or), sur le monument aux morts, à Bey (Saône-et-Loire), sur le monument commémoratif de la Résistance, à Louhans et sur la plaque commémorative des FFI, à Saint-Bonnet-en-Bresse (Saône-et-Loire).
Sources
SOURCES : Gilles Hennequin Résistance en Côte-d’Or tome IV, Dijon 1997.— Mémorial Genweb.— État civil.
Jean-Louis Ponnavoy
