LE LAY Pierre, Antoine
Né le 12 avril 1927 à Lorient (Morbihan), exécuté sommairement le 27 juin 1944 à Ploërdut (Morbihan) ; étudiant ; FFI.
Sur le monument de Tréffléan en Ploërdut
« Ici sont morts le 27 juin 1944 les patriotes Joseph Pérès et Pierre Le Lay exécutés par les Allemands »
SOURCE : Photos Jean-Pierre et Jocelyne Husson
Célibataire, Pierre Le Lay était le fils de Michel Le Lay, ouvrier à l’Arsenal de Lorient en retraite, et d’Amélie Adrienne Braban, journalière, domiciliés à Lorient.
Étudiant lorientais réfugié avec ses parents au Faouët (Morbihan) en raison des bombardements alliés intensifs sur le secteur de Lorient, il fut arrêté le 27 juin 1944 à Priziac (Morbihan). Amené à Tréffléan en Ploërdut (Morbihan), il y fut exécuté en bordure de la route menant de Saint-Tugdual à Tréffléan en Ploërdut avec Joseph Pérès, membre du groupe des Francs-tireurs et partisans français (FTPF) de Guéméné (Morbihan), qui venait d’être arrêté par une patrouille allemande à Saint-Tugdual (Morbihan).
Pierre Le Lay a obtenu la mention « Mort pour la France » et a été homologué FFI. Le titre d’Interné-résistant lui a été attribué à titre posthume, ainsi que La Médaille de la Résistancepar décret du 27 décemùbre 1960, publié au JO du 1er janvier 1961.
Son frère ainé Roger Le Lay, blessé et capturé le 12 juillet 1944 à Priziac, puis conduit à l’école Sainte Barbe du Faouët (Morbihan) où siégeait une cour martiale, a été exécuté le 17 juillet 1944 dans le bois de Cadelac en Priziac.
Le nom de Pierre Le Lay nom est inscrit avec celui de Joseph Pérès sur le monument élevé sur le lieu de leur exécution à Tréffléan en Ploërdut.
Étudiant lorientais réfugié avec ses parents au Faouët (Morbihan) en raison des bombardements alliés intensifs sur le secteur de Lorient, il fut arrêté le 27 juin 1944 à Priziac (Morbihan). Amené à Tréffléan en Ploërdut (Morbihan), il y fut exécuté en bordure de la route menant de Saint-Tugdual à Tréffléan en Ploërdut avec Joseph Pérès, membre du groupe des Francs-tireurs et partisans français (FTPF) de Guéméné (Morbihan), qui venait d’être arrêté par une patrouille allemande à Saint-Tugdual (Morbihan).
Pierre Le Lay a obtenu la mention « Mort pour la France » et a été homologué FFI. Le titre d’Interné-résistant lui a été attribué à titre posthume, ainsi que La Médaille de la Résistancepar décret du 27 décemùbre 1960, publié au JO du 1er janvier 1961.
Son frère ainé Roger Le Lay, blessé et capturé le 12 juillet 1944 à Priziac, puis conduit à l’école Sainte Barbe du Faouët (Morbihan) où siégeait une cour martiale, a été exécuté le 17 juillet 1944 dans le bois de Cadelac en Priziac.
Le nom de Pierre Le Lay nom est inscrit avec celui de Joseph Pérès sur le monument élevé sur le lieu de leur exécution à Tréffléan en Ploërdut.
Sources
SOURCES : SHD, Vincennes, GR 16 P 358800. — Albert Le Priol, " Les crimes commis par les nazis pendant l’occupation allemande ", Ami entends-tu…, numéro 14, 1er semestre 1971. — Roger Leroux, Le Morbihan en guerre 1939-1945, Joseph Floch imprimeur éditeur à Mayenne, 1978. — Mémorial GenWeb. — État-civil, Lorient (acte de naissance) ; Ploërdut (acte de décès).
Jean-Pierre Husson, Jocelyne Husson
