PETCHOT LAQUE Léon
Né le 20 juillet 1910 à Ger (Basses-Pyrénées, Pyrénées-Atlantiques), blessé au cours d’une action de résistance le 8 juin 1944 à Sarrouilles et mort à l’hôpital le lendemain le 9 juin 1944 à Tarbes (Hautes-Pyrénées) ; instituteur ; résistant du Corps franc Pommiès (CFP) homologué FFI.
Léon Petchot Laque était domicilié à Ger et exerçait le métier d’instituteur.
Il entra dans la Résistance au Corps Franc Pommiès dans le Groupement du Sud-Ouest, bataillon des Hautes-Pyrénées, compagnie De Chazelles, où ses services furent homologué du 1er au 9 juin 1944.
Le 8 juin 1944, une embuscade fut tendue à trois camions ennemis en bordure de la RN 632, à Castelvieilh. Léon Petchot Laque fut blessé au cours de l’attaque, au bois de Sarrouilles, lieu-dit Saint-Roch. Il décéda des suites de ses blessures le lendemain à l’hôpital de Tarbes. Selon une autre source, il aurait été achevé de deux balles dans la tête par les Allemands.
L’ennemi eut une trentaine d’hommes brûlés dans un des camions incendié.
Il obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué chasseur des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur le monument aux morts, à Ger (Pyrénées-Atlantiques), le Mémorial Corps franc Pommiès, à Castelnau-Magnoac et la stèle commémorative Corps franc Pommiès, à Castelvieilh (Hautes-Pyrénées).
Il entra dans la Résistance au Corps Franc Pommiès dans le Groupement du Sud-Ouest, bataillon des Hautes-Pyrénées, compagnie De Chazelles, où ses services furent homologué du 1er au 9 juin 1944.
Le 8 juin 1944, une embuscade fut tendue à trois camions ennemis en bordure de la RN 632, à Castelvieilh. Léon Petchot Laque fut blessé au cours de l’attaque, au bois de Sarrouilles, lieu-dit Saint-Roch. Il décéda des suites de ses blessures le lendemain à l’hôpital de Tarbes. Selon une autre source, il aurait été achevé de deux balles dans la tête par les Allemands.
L’ennemi eut une trentaine d’hommes brûlés dans un des camions incendié.
Il obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué chasseur des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur le monument aux morts, à Ger (Pyrénées-Atlantiques), le Mémorial Corps franc Pommiès, à Castelnau-Magnoac et la stèle commémorative Corps franc Pommiès, à Castelvieilh (Hautes-Pyrénées).
Sources
SOURCES : Service historique de la Défense, AVCC, Caen, Cote AC 21 P 130373 (nc) et GR 16 P 470754 (nc) et GR 19 P 65/2 page 63.— Louis Poullenot, Les Basses-Pyrénées. Occupation-Libération, 1940-1945, Atlantica, 2008, communiqué par Jean-Claude Malé.— "Hauts Lieux de Mémoire du Gers", L’histoire complète Le Corps Franc Pommiès.— Mémoire des Hommes.— Mémorial Genweb.
Jean-Claude Malé, Jean-Louis Ponnavoy
