CHRISTIEN Louis
Né le 6 mars 1925 à Lanvénégen (Morbihan), fusillé le 11 juillet 1944 à Querrien (Finistère) ; cultivateur ; FFI.
Sur le monument de Kerstang-Combout en Querrien
Sur le monument aux morts de Lanvénégen
SOURCE : Photos Jean-Pierre et Jocelyne Husson
Louis Christien était le fils de Jean Louis Christien et de Marie Louise Hervé, cultivateurs à Vetveur en Lanvénégen (Morbihan). Célibataire, il exerçait la profession de cultivateur dans la ferme de ses parents.
Engagé dans les Forces françaises de l’intérieur (FFI) au sein du groupe de Lanvénégen (Morbihan), il fut arrêté le 23 mai 1944. Interné à l’école Sainte Barbe du Faouët (Morbihan) où siégeait une cour martiale, il fut interrogé, torturé et condamné à mort de façon expéditive.
Le 11 juillet 1944, il fut sorti brutalement du sous-sol de l’école Sainte Barbe et emmené à Querrien (Finistère) où il fut exécuté dans un chemin creux du village de Kerstang-Combout, en même temps que Jean Caignec, Vincent Hello, Jules Le Sauze, François Quintrix et un inconnu
Son acte de décès n’ayant pas été enregistré sur les registres de l’état-civil de Querrien, cette omission a été réparée par un jugement du tribunal civil de Quimperlé (Finistère) rendu le 25 janvier 1945 et transcrit en mairie de Querrien le 6 mars 1945.
Louis Christien a obtenu la mention « Mort pour la France » et a été homologué FFI.
Dans le Finistère, le nom de Louis Christien est inscrit sur le monument commémoratif élevé en 1967 à Querrien sur le lieu de son exécution.
Dans le Morbihan, il figure sur liste « Fusillés » du monument aux morts de Lanvénégen.
Engagé dans les Forces françaises de l’intérieur (FFI) au sein du groupe de Lanvénégen (Morbihan), il fut arrêté le 23 mai 1944. Interné à l’école Sainte Barbe du Faouët (Morbihan) où siégeait une cour martiale, il fut interrogé, torturé et condamné à mort de façon expéditive.
Le 11 juillet 1944, il fut sorti brutalement du sous-sol de l’école Sainte Barbe et emmené à Querrien (Finistère) où il fut exécuté dans un chemin creux du village de Kerstang-Combout, en même temps que Jean Caignec, Vincent Hello, Jules Le Sauze, François Quintrix et un inconnu
Son acte de décès n’ayant pas été enregistré sur les registres de l’état-civil de Querrien, cette omission a été réparée par un jugement du tribunal civil de Quimperlé (Finistère) rendu le 25 janvier 1945 et transcrit en mairie de Querrien le 6 mars 1945.
Louis Christien a obtenu la mention « Mort pour la France » et a été homologué FFI.
Dans le Finistère, le nom de Louis Christien est inscrit sur le monument commémoratif élevé en 1967 à Querrien sur le lieu de son exécution.
Dans le Morbihan, il figure sur liste « Fusillés » du monument aux morts de Lanvénégen.
Sources
SOURCES : AVCC, Caen, AC 21 P 45 381. — SHD, Vincennes, GR 16 P 130 335. — État civil, Lanvénégen (acte de naissance) ; Querrien (transcription du jugement déclaratif de décès).
Jean-Pierre Husson, Jocelyne Husson
