GAULME René, Marie, Louis
Né le 15 octobre 1924 à Besançon (Doubs), exécuté sommairement le 6 septembre 1944 à Palleau (Saône-et-Loire) ; résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI) groupe Marius.
René Gaulme était le fils d’Alphonse Marie Henri et de Jeanne Demilière. Il était célibataire.
Il entra dans la Résistance aux Forces françaises de l’Intérieur (FFI) dans le groupe Marius, bataillon Saint-Rémy.
Il fut exécuté par les allemands le 6 septembre 1944 à une heure indéterminée, à Palleau (Saône-et-Loire).
Selon des sources différentes, il aurait été fusillé avec six autres résistants du même groupe dont Marcel Labaume le 7 septembre 1944 à 13 heures dans la forêt de Cîteaux, à Auvillars-sur-Saône (Côte-d’Or). Le lendemain Auvillars était libéré par le 3e escadron du 2e régiment de spahis algériens de reconnaissance (RSAR) commandé par le capitaine de Baulny.
Son acte de décès fut dressé comme étant celui d’un inconnu âgé d’environ 25 ans, le 9 septembre 1944 sur la déclaration d’Antides Berry, garde champêtre à Palleau, témoin majeur. Il fut identifié et transcrit à Palleau sous son nom au début de l’année 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France » portée sur son acte de décès et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Son nom figure sur la stèle commémorative aux FFI, érigée sur le chemin de la Forêt en direction des Bois de Citeaux, à Auvillars-sur-Saône (Côte-d’Or), sur le monument aux morts, à Pouilley-les-Vignes (Doubs), sur le monument commémoratif de la Résistance, à Louhans, sur le monument commémoratif, à Palleau et sur la plaque commémorative des FFI, à Saint-Bonnet-en-Bresse (Saône-et-Loire).
Il entra dans la Résistance aux Forces françaises de l’Intérieur (FFI) dans le groupe Marius, bataillon Saint-Rémy.
Il fut exécuté par les allemands le 6 septembre 1944 à une heure indéterminée, à Palleau (Saône-et-Loire).
Selon des sources différentes, il aurait été fusillé avec six autres résistants du même groupe dont Marcel Labaume le 7 septembre 1944 à 13 heures dans la forêt de Cîteaux, à Auvillars-sur-Saône (Côte-d’Or). Le lendemain Auvillars était libéré par le 3e escadron du 2e régiment de spahis algériens de reconnaissance (RSAR) commandé par le capitaine de Baulny.
Son acte de décès fut dressé comme étant celui d’un inconnu âgé d’environ 25 ans, le 9 septembre 1944 sur la déclaration d’Antides Berry, garde champêtre à Palleau, témoin majeur. Il fut identifié et transcrit à Palleau sous son nom au début de l’année 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France » portée sur son acte de décès et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Son nom figure sur la stèle commémorative aux FFI, érigée sur le chemin de la Forêt en direction des Bois de Citeaux, à Auvillars-sur-Saône (Côte-d’Or), sur le monument aux morts, à Pouilley-les-Vignes (Doubs), sur le monument commémoratif de la Résistance, à Louhans, sur le monument commémoratif, à Palleau et sur la plaque commémorative des FFI, à Saint-Bonnet-en-Bresse (Saône-et-Loire).
Sources
SOURCES : Gilles Hennequin Résistance en Côte-d’Or tome IV, Dijon 1997 et tome V, Dijon 2001.— Journal de marche et des opérations du 2e RSAR.— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès)..
Jean-Louis Ponnavoy
