VALLOT Roger, Jean, Baptiste, Alexandre
Né le 19 janvier 1909 à Dijon, mort au combat le 17 juin 1944 à Boissia (Jura) ; résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Roger Vallot était le fils de Jean Baptiste Auguste, jardinier et de Aurélie Cortot, sans profession. Il fut adopté comme pupille de la Nation par jugement du Tribunal civil de Beaune en mai 1920. Il se maria le 8 juin 1932 à Lons-le-Saunier (Jura) avec Georgette Madeleine Ernestine Gruet.
Il entra dans la Résistance au maquis du Jura en février 1943 au groupement Bessin.
Il fut tué le 17 juin 1944 près du hameau de Bissia, à Boissia (Jura), au cours d’un violent combat avec l’ennemi qui dura deux heures. Quinze résistants dont Roger Vallot périrent dans ce combat. Ceux qui étaient simplement blessés furent achevés à coups de crosse de fusil ou à coups de pied par les soldats allemands et les miliciens français qui les accompagnaient. Il fut décrit ainsi : « Visage ovale, cheveux noirs, rasé, âge de vingt cinq à trente ans environ, taille un mètre soixante dix, pantalon brun, veste bleue, chaussettes grises ».
Il est inhumé dans le carré militaire FFI au cimetière communal, à Villevieux (Jura).
Son nom figure sur la plaque commémorative en mémoire des pupilles de la Nation morts pour la France apposée contre le mur du cimetière communal des Péjoces, à Dijon, sur le monument aux morts, à Villers-la-Faye (Côte-d’Or), sur le mémorial du combat du 17 juin 1944, à Boissia, sur le monument aux morts et sur la plaque commémorative 1939-1945 apposée sur le mur du carré militaire, au cimetière communal, à Villevieux (Jura).
Il entra dans la Résistance au maquis du Jura en février 1943 au groupement Bessin.
Il fut tué le 17 juin 1944 près du hameau de Bissia, à Boissia (Jura), au cours d’un violent combat avec l’ennemi qui dura deux heures. Quinze résistants dont Roger Vallot périrent dans ce combat. Ceux qui étaient simplement blessés furent achevés à coups de crosse de fusil ou à coups de pied par les soldats allemands et les miliciens français qui les accompagnaient. Il fut décrit ainsi : « Visage ovale, cheveux noirs, rasé, âge de vingt cinq à trente ans environ, taille un mètre soixante dix, pantalon brun, veste bleue, chaussettes grises ».
Il est inhumé dans le carré militaire FFI au cimetière communal, à Villevieux (Jura).
Son nom figure sur la plaque commémorative en mémoire des pupilles de la Nation morts pour la France apposée contre le mur du cimetière communal des Péjoces, à Dijon, sur le monument aux morts, à Villers-la-Faye (Côte-d’Or), sur le mémorial du combat du 17 juin 1944, à Boissia, sur le monument aux morts et sur la plaque commémorative 1939-1945 apposée sur le mur du carré militaire, au cimetière communal, à Villevieux (Jura).
Sources
SOURCES : Le Progrès du Jura du 19 juin 2016 Tragédie du 17 juin 1944 : les quinze victimes ne sont pas oubliées. — Anonymes, Justes et Persécutés durant la période Nazie (AJPN), Boissia en 1939-1945.— Mémorial Genweb. — État civil.
Jean-Louis Ponnavoy
