Né le 9 septembre 1926 à Saint-Méard-de-Gurçon (Dordogne), exécuté sommairement le 14 août 1944 à Périgueux (Dordogne) ; chaudronnier ; résistant dans l’Armée secrète (AS).

Fils de Robert et de Marie-Thérèse Sarlat, Jean Maxime Ponceau exerçait la profession de chaudronnier. Il était célibataire et domicilié à Périgueux au n° 12 de la rue Limogeanne.
Engagé dans la Résistance au sein du groupe Roland (AS Périgueux), il fut capturé en opération, le dimanche 12 août 1944, à proximité de Coursac avec son camarade Gérard Talaucher.
Jean Maxime Ponceau fut exécuté au 35ème à Périgueux, non pas le jour même de son arrestation, comme son compagnon d’infortune, Gérard Talaucher, mais « le 14 août 1944, vers quatorze heures », comme l’indique l’acte de décès n° 696, en date du 25 août 1944. Agé de 18 ans, il est « Mort pour la France » (mention faite le 4 novembre 1944).


Voir Périgueux, Mur des Fusillés, Caserne Daumesnil, Rue du 5e Régiment de Chasseurs (5 juin-17 août 1944)
Sources

SOURCES : Arch. dép. Dordogne. — Archives privées de l’auteur. — Jean Bart, Histoire d’un Groupe Franc du Maquis de Dordogne, Périgueux, éditions Pierre Fanlac, 1945. — Guy Penaud, Histoire de la Résistance en Périgord, Bordeaux, Éditions Sud-Ouest, 2013. — Jacques Lagrange 1944 en Dordogne, Éditions Pilote 24, Périgueux, 1993. — état civil.

Jean-Paul Bedoin

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