MIALLE Pascal, Louis
Né le 16 avril 1900 à Chamaret (Drôme) ; mort au combat le 21 juin 1944 à Azé (Saône-et-Loire) ; sans profession ; résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Louis Mialle était le fils de Louis et de Marie Mollier. Il se maria le 11 août 1913 à Mâcon (Saône-et-Loire) avec Hélène Angèle Donny. Il était domicilié à Mâcon (Saône-et-Loire).
Il était sans profession selon le jugement du tribunal de Mâcon. Il entra dans la Résistance au maquis de Brancion avec le pseudonyme "Papa".
Le 21 juin les troupes allemandes assistées de miliciens de Mâcon attaquèrent un dépôt d’armes du maquis, Ils échouèrent mais les maquisards subirent des pertes. Louis Mialle fut tué à l’ennemi à 14 heures au lieu-dit "La Gare", à Azé (Saône-et-Loire).
Enregistré comme inconnu il fut identifié par un jugement rectificatif de décès du Tribunal de première instance de Mâcon du 24 octobre 1944. Le jugement fut transcrit sur les registres d’état civil à Mâcon le 31 octobre 1944.
Il est inhumé au carré militaire du cimetière communal, à Azé (Saône-et-Loire).
Il obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué comme membre des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Son nom figure sur la stèle commémorative érigée sur la D82, en mémoire des maquisards morts pour la libération et sur une plaque mémorielle au "Moulin-Piquet", à Azé, sur le monument commémoratif érigé au col de Brancion, au carrefour des CD 14 et 182 en souvenir de tous les maquisards et résistants tués dans la région et sur le monument aux morts, à Mâcon (Saône-et-Loire).
Il était sans profession selon le jugement du tribunal de Mâcon. Il entra dans la Résistance au maquis de Brancion avec le pseudonyme "Papa".
Le 21 juin les troupes allemandes assistées de miliciens de Mâcon attaquèrent un dépôt d’armes du maquis, Ils échouèrent mais les maquisards subirent des pertes. Louis Mialle fut tué à l’ennemi à 14 heures au lieu-dit "La Gare", à Azé (Saône-et-Loire).
Enregistré comme inconnu il fut identifié par un jugement rectificatif de décès du Tribunal de première instance de Mâcon du 24 octobre 1944. Le jugement fut transcrit sur les registres d’état civil à Mâcon le 31 octobre 1944.
Il est inhumé au carré militaire du cimetière communal, à Azé (Saône-et-Loire).
Il obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué comme membre des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Son nom figure sur la stèle commémorative érigée sur la D82, en mémoire des maquisards morts pour la libération et sur une plaque mémorielle au "Moulin-Piquet", à Azé, sur le monument commémoratif érigé au col de Brancion, au carrefour des CD 14 et 182 en souvenir de tous les maquisards et résistants tués dans la région et sur le monument aux morts, à Mâcon (Saône-et-Loire).
Sources
SOURCES : Geneawiki Martailly-lès-Brancion - Morts aux guerres.— Mémorial Genweb.— État civil.
Jean-Louis Ponnavoy
