POINCLOUX Georges, René
Né le 17 juillet 1918 à La Garenne-Colombes (Seine, Hauts-de-Seine), exécuté sommairement le 27 août 1944 à Précy-Saint-Martin (Aube) ; militaire ; résistant de l’armée secrète (AS) auboise et des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Georges Poincloux était le fils de Fernand Léon, contremaître et de Philomène Marguerite Joséphine Tissot. Il était domicilié chez son père devenu veuf, 5 rue Solférino, à Sannois (Seine-et-Oise, Val-d’Oise). Il était célibataire.
Il effectua la campagne de 1939-1940 au 2e régiment du Génie et entra dans la Résistance à l’armée secrète auboise et à la Cie 1/11 du Génie du Groupe Montcalm.
Après la bataille de Mussy-Grancey du 2 au 4 août le maquis Montcalm se replia dans la région de Troyes où les engagements avec l’ennemi se poursuivirent notamment vers la fin du mois d’août à l’approche des troupes alliées.
Georges Poincloux participa aux premiers combats pour la Libération et fut fait prisonnier par les allemands puis gardé en otage. En se repliant les nazis investirent le petit village de Précy-Saint-Martin (Aube) qu’ils mirent à feu et à sang incendiant la mairie ainsi que 9 maisons et fusillant 14 personnes en représailles le 27 août 1944 dont Georges Poincloux qui décéda à 17 heures au domicile d’une autre victime Ernest Girardin, rue du Bout d’En Haut.
Il est inhumé dans le carré des corps restitués au cimetière ancien, à Sannois (Val-d’Oise).
Il obtint la mention « Mort pour la France » qui figure sur son acte de décès et fut homologué au grade de sergent des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Son nom figure sur la plaque commémorative du Musée de la Résistance, à Mussy-sur-Seine, sur la plaque commémorative 1939-1945 et sur le monument aux morts, à Précy-Saint-Martin (Aube) et sur le monument aux morts du square Jean-Mermoz, à Sannois (Val-d’Oise).
Il effectua la campagne de 1939-1940 au 2e régiment du Génie et entra dans la Résistance à l’armée secrète auboise et à la Cie 1/11 du Génie du Groupe Montcalm.
Après la bataille de Mussy-Grancey du 2 au 4 août le maquis Montcalm se replia dans la région de Troyes où les engagements avec l’ennemi se poursuivirent notamment vers la fin du mois d’août à l’approche des troupes alliées.
Georges Poincloux participa aux premiers combats pour la Libération et fut fait prisonnier par les allemands puis gardé en otage. En se repliant les nazis investirent le petit village de Précy-Saint-Martin (Aube) qu’ils mirent à feu et à sang incendiant la mairie ainsi que 9 maisons et fusillant 14 personnes en représailles le 27 août 1944 dont Georges Poincloux qui décéda à 17 heures au domicile d’une autre victime Ernest Girardin, rue du Bout d’En Haut.
Il est inhumé dans le carré des corps restitués au cimetière ancien, à Sannois (Val-d’Oise).
Il obtint la mention « Mort pour la France » qui figure sur son acte de décès et fut homologué au grade de sergent des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Son nom figure sur la plaque commémorative du Musée de la Résistance, à Mussy-sur-Seine, sur la plaque commémorative 1939-1945 et sur le monument aux morts, à Précy-Saint-Martin (Aube) et sur le monument aux morts du square Jean-Mermoz, à Sannois (Val-d’Oise).
Sources
SOURCES : Article du journal Le Bien Public à l’occasion du 20e anniversaire de La bataille de Mussy-Grancey (2, 3, 4 août 1944).— Divers Sites Internet sur le maquis et la bataille de Mussy-Grancey.— Mémorial Genweb.— État civil.
Jean-Louis Ponnavoy