TOUCHE Jean-Claude, Charles, Jacques
Né le 7 août 1926 à Paris (VIIIe arr.), mort des suites de ses blessures le 29 août 1944 à Paris (VIIIe arr.) ; organiste ; secouriste à la Croix-Rouge ; victime civile.
Jean-Claude Touche était le fils de Firmin Claude Léon, professeur au Conservatoire et violon soliste à l’Opéra de Paris, Croix de guerre 1914-1918 et de Marthe Rosalie Marie Poupard, sans profession. Il était organiste et vivait chez ses parents. Il était célibataire.
Doué pour la musique il obtint de nombreux prix et fut organiste à Vernon et Giverny. En 1939 ce fut la déclaration de guerre, la défaite, l’exode en mai 1940 jusqu’à la région bordelaise et le retour à Paris en août 1940.
En 1943 Il s’enrôla dans les équipes d’urgence puis il s’engagea à la Croix-Rouge, au Comité du 8e arrondissement.
Le 24 avril 1944, il obtint un Second prix de fugue et le 17 mai un Premier prix d’orgue. En Juillet 1944, il anima un centre de vacances rue de la Bienfaisance, dans le 8e. Il arpentait Paris avec ses camarades à la recherche de ravitaillement à distribuer et portait la soupe au personnes âgées.
Pendant les combats de la Libération de Paris il accomplit avec courage sa mission de secouriste du comité du 8ème arrondissement de la Croix-Rouge française. Il fut mortellement blessé en relevant des blessés à l’angle de la rue de Rivoli et de la place de la Concorde. Il décèdera de ses blessures le 29 août à 15h30 à son domicile, rue de Rome.
Son nom figure sur une plaque commémorative à sa mémoire, à Paris VIIe arr.
Doué pour la musique il obtint de nombreux prix et fut organiste à Vernon et Giverny. En 1939 ce fut la déclaration de guerre, la défaite, l’exode en mai 1940 jusqu’à la région bordelaise et le retour à Paris en août 1940.
En 1943 Il s’enrôla dans les équipes d’urgence puis il s’engagea à la Croix-Rouge, au Comité du 8e arrondissement.
Le 24 avril 1944, il obtint un Second prix de fugue et le 17 mai un Premier prix d’orgue. En Juillet 1944, il anima un centre de vacances rue de la Bienfaisance, dans le 8e. Il arpentait Paris avec ses camarades à la recherche de ravitaillement à distribuer et portait la soupe au personnes âgées.
Pendant les combats de la Libération de Paris il accomplit avec courage sa mission de secouriste du comité du 8ème arrondissement de la Croix-Rouge française. Il fut mortellement blessé en relevant des blessés à l’angle de la rue de Rivoli et de la place de la Concorde. Il décèdera de ses blessures le 29 août à 15h30 à son domicile, rue de Rome.
Son nom figure sur une plaque commémorative à sa mémoire, à Paris VIIe arr.
Sources
SOURCES : site internet "La Libération de Paris", Le secouriste des Batignolles.— État civil (Paris VIIIe arr.).
Jean-Louis Ponnavoy
