DESMONET Robert, Louis
Né le 15 janvier 1913 à Paris (XVIIe arr.), mort au combat le 20 août 1944 à Paris (XVIIe arr.) ; employé SNCF ; résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Robert Desmonet était le fils de Émile René, employé de chemin de fer et de Marguerite Émélie Glé, sans profession. Il se maria le 10 août 1935 à Paris (XVIIe arr.) avec Madeleine Marie Denis et était domicilié avec elle 77, rue des Dames, à Paris (XVIIe arr.).
Il était ouvrier de 2e classe au service Voie et Bâtiments sur le site des Batignolles (XVIIe arr.). Son acte de décès indique la profession de plombier.
Il entra dans la Résistance aux Forces françaises de l’Intérieur et participa aux combats de la Libération de Paris. Le 20 août 1944 il était sur la barricade élevée devant l’école normale d’institutrices, 10 rue Boursault et fut grièvement blessé dans l’attaque d’un garage réquisitionné par la Wehrmacht. Il décéda le jour même à 18h30, à l’hôpital Bichat 170 boulevard Ney, à Paris (XVIIIe).
Selon certaines sources, il serait décédé le 21 août 1944, jour où l’acte de décès fut dressé à 12h20 à la mairie du 18e arrondissement sur la déclaration de Simonne Leblond, employée à l’hôpital Bichat.
Il est inhumé dans le carré militaire du cimetière parisien, à Pantin (Seine-Saint-Denis).
Il obtint la mention « Mort pour la France » le 26 juin 1947.
Son nom figure sur la plaque commémorative, apposée sur la façade de l’IUFM, 10 rue Boursault, à Paris XVIIe arrondissement, sur la plaque des Batignolles apposée sur le mur de la sous-station de Pont-Cardinet, à Paris XVIIe arrondissement et sur la plaque régionale SNCF en gare de Paris Saint-Lazare, à Paris VIIIe arrondissement.
Il était ouvrier de 2e classe au service Voie et Bâtiments sur le site des Batignolles (XVIIe arr.). Son acte de décès indique la profession de plombier.
Il entra dans la Résistance aux Forces françaises de l’Intérieur et participa aux combats de la Libération de Paris. Le 20 août 1944 il était sur la barricade élevée devant l’école normale d’institutrices, 10 rue Boursault et fut grièvement blessé dans l’attaque d’un garage réquisitionné par la Wehrmacht. Il décéda le jour même à 18h30, à l’hôpital Bichat 170 boulevard Ney, à Paris (XVIIIe).
Selon certaines sources, il serait décédé le 21 août 1944, jour où l’acte de décès fut dressé à 12h20 à la mairie du 18e arrondissement sur la déclaration de Simonne Leblond, employée à l’hôpital Bichat.
Il est inhumé dans le carré militaire du cimetière parisien, à Pantin (Seine-Saint-Denis).
Il obtint la mention « Mort pour la France » le 26 juin 1947.
Son nom figure sur la plaque commémorative, apposée sur la façade de l’IUFM, 10 rue Boursault, à Paris XVIIe arrondissement, sur la plaque des Batignolles apposée sur le mur de la sous-station de Pont-Cardinet, à Paris XVIIe arrondissement et sur la plaque régionale SNCF en gare de Paris Saint-Lazare, à Paris VIIIe arrondissement.
Sources
SOURCES : Cheminots victimes de la répression 1940-1945 Mémorial, sous la direction de Thomas Fontaine, éd. Perrin/SNCF, Paris, 2017.— Musée de la Résistance 1940-1945 en ligne Barricade devant le 10 rue Boursault, Paris 17e.— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
Jean-Louis Ponnavoy
