BLANCHOT Marie, Marcel, Aristide, Xavier dit Marcel
Né le 16 juillet 1921 à Villevieux (Jura), mort au combat le 17 juin 1944 à Boissia (Jura) ; résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI), maquis du Jura.
Marcel Blanchot était le fils de Joseph et de Madeleine Langevin. Il était célibataire et domicilié à Villevieux.
Il entra dans la Résistance aux Forces françaises de l’Intérieur (FFI) et au maquis du Jura dans le groupe de Villevieux sous les ordres de Joseph Carmantrand.
Le 17 juin 1944, le maquis fut attaqué par une colonne d’allemands et de miliciens fortement armés. Un combat violent et inégal s’engagea entre 17h00 et 19h00 au lieu-dit "En Savoureuse" près du hameau de Bissia, à Boissia (Jura). Se trouvant en terrain découvert les résistants tombèrent fauchés par l’auto mitrailleuse. Ceux qui n’étaient que blessés furent achevés à coups de crosse de fusil ou à coups de pied par les soldats allemands et les miliciens français qui les accompagnaient. Quinze d’entre eux périrent ainsi abattus ou sauvagement assassinés dont Marcel Blanchot qui succomba vers 20 heures.
Il fut identifié par un jugement du Tribunal civil de Lons-le-Saunier (Jura) rendu le 26 septembre 1945 et l’acte de décès fut transcrit à l’état civil de Boissia le 31 octobre 1945. Il fut décrit ainsi : « Visage allongé, cheveux frisés châtains, taille un mètre soixante quinze, vêtu en brun bandes bleues portant musette ».
Il est inhumé dans le carré FFI au carré militaire du cimetière communal, à Villevieux (Jura)
Il obtint la mention « Mort pour la France » et la Croix de guerre à titre posthume.
Son nom figure sur le mémorial du combat du 17 juin 1944, à Boissia, sur la plaque commémorative 1939-1945 et le monument aux morts, à Villevieux (Jura).
Il entra dans la Résistance aux Forces françaises de l’Intérieur (FFI) et au maquis du Jura dans le groupe de Villevieux sous les ordres de Joseph Carmantrand.
Le 17 juin 1944, le maquis fut attaqué par une colonne d’allemands et de miliciens fortement armés. Un combat violent et inégal s’engagea entre 17h00 et 19h00 au lieu-dit "En Savoureuse" près du hameau de Bissia, à Boissia (Jura). Se trouvant en terrain découvert les résistants tombèrent fauchés par l’auto mitrailleuse. Ceux qui n’étaient que blessés furent achevés à coups de crosse de fusil ou à coups de pied par les soldats allemands et les miliciens français qui les accompagnaient. Quinze d’entre eux périrent ainsi abattus ou sauvagement assassinés dont Marcel Blanchot qui succomba vers 20 heures.
Il fut identifié par un jugement du Tribunal civil de Lons-le-Saunier (Jura) rendu le 26 septembre 1945 et l’acte de décès fut transcrit à l’état civil de Boissia le 31 octobre 1945. Il fut décrit ainsi : « Visage allongé, cheveux frisés châtains, taille un mètre soixante quinze, vêtu en brun bandes bleues portant musette ».
Il est inhumé dans le carré FFI au carré militaire du cimetière communal, à Villevieux (Jura)
Il obtint la mention « Mort pour la France » et la Croix de guerre à titre posthume.
Son nom figure sur le mémorial du combat du 17 juin 1944, à Boissia, sur la plaque commémorative 1939-1945 et le monument aux morts, à Villevieux (Jura).
Sources
SOURCES : Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
Jean-Louis Ponnavoy