GENOT Jean, Maurice
Né le 14 mars 1920 à Lons-le-Saunier (Jura), mort au combat le 17 juin 1944 à Boissia (Jura) ; cuisinier ; résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI) et du maquis du Jura.
Jean Genot était le fils de Maxime et de Eugénie Prudent. Il se maria avec Julienne Beauvive.
Il était domicilié à Lons-le-Saunier et exerçait le métier de cuisinier.
Il entra dans la Résistance le 9 juin 1944 aux Forces françaises de l’Intérieur dans le maquis du district FFI Besson à Bletterans (Jura).
Le 17 juin 1944, le groupe du maquis commandé par Joseph Carmantrand fut attaqué par une colonne d’allemands et de miliciens fortement armés. Un combat violent et inégal s’engagea entre 17h00 et 19h00 au lieu-dit "En Savoureuse" près du hameau de Bissia, à Boissia (Jura). Se trouvant en terrain découvert les résistants tombèrent fauchés par l’auto mitrailleuse. Ceux qui n’étaient que blessés furent achevés à coups de crosse de fusil ou à coups de pied par les soldats allemands et les miliciens français qui les accompagnaient. Quinze d’entre eux périrent ainsi abattus ou sauvagement assassinés dont Jean Genot qui succomba vers 20 heures.
Il fut identifié par un jugement du Tribunal civil de Lons-le-Saunier (Jura) rendu le 26 septembre 1945 et l’acte de décès fut transcrit à l’état civil de Boissia le 31 octobre 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France » portée sur son acte de décès le 30 octobre 1946.
Son nom figure sur le mémorial du combat du 17 juin 1944, à Boissia (Jura).
Il était domicilié à Lons-le-Saunier et exerçait le métier de cuisinier.
Il entra dans la Résistance le 9 juin 1944 aux Forces françaises de l’Intérieur dans le maquis du district FFI Besson à Bletterans (Jura).
Le 17 juin 1944, le groupe du maquis commandé par Joseph Carmantrand fut attaqué par une colonne d’allemands et de miliciens fortement armés. Un combat violent et inégal s’engagea entre 17h00 et 19h00 au lieu-dit "En Savoureuse" près du hameau de Bissia, à Boissia (Jura). Se trouvant en terrain découvert les résistants tombèrent fauchés par l’auto mitrailleuse. Ceux qui n’étaient que blessés furent achevés à coups de crosse de fusil ou à coups de pied par les soldats allemands et les miliciens français qui les accompagnaient. Quinze d’entre eux périrent ainsi abattus ou sauvagement assassinés dont Jean Genot qui succomba vers 20 heures.
Il fut identifié par un jugement du Tribunal civil de Lons-le-Saunier (Jura) rendu le 26 septembre 1945 et l’acte de décès fut transcrit à l’état civil de Boissia le 31 octobre 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France » portée sur son acte de décès le 30 octobre 1946.
Son nom figure sur le mémorial du combat du 17 juin 1944, à Boissia (Jura).
Sources
SOURCES : Musée de la Résistance 1940-1945 en ligne.— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
Jean-Louis Ponnavoy