Né le 20 octobre 1921 à Paris (XIVe arr.), victime civile des combats de la Libération morte le 19 août 1944 à Paris (XVe arr.) ; cheminot ; victime civile des combats de la Libération de Paris.

Georges Bois était le fils de Vincent Georges et de Désirée Adrienne Doisneau, domiciliés à Arcueil (Seine, Val-de-Marne), Il était célibataire et domicilié 2 rue Labrouste, à Paris (XVe arr.).
Il travaillait à la SNCF comme aide-ouvrier ajusteur aux ateliers de la Folie, à Nanterre (Seine, Hauts-de-Seine). Lors des premiers combats pour la Libération de Paris le 19 août 1944, il fut touché sur la terrasse de son immeuble par un tir provenant de soldats allemands installés sur le toit de l’immeuble du central téléphonique de la rue Saint-Amand. Blessé grièvement il fut conduit à la clinique d’Allerey, 72 rue d’Allerey, à Paris (XVe arr.) et décéda à seize heures.
Il est inhumé au cimetière parisien, à Bagneux (Seine, Hauts-de-Seine).
Son nom figure sur la plaque commémorative des ateliers de La Folie, installée aujourd’hui au dépôt de Levallois.
Sources

SOURCES : Cheminots victimes de la répression 1940-1945 Mémorial, sous la direction de Thomas Fontaine, éd. Perrin/SNCF, Paris, 2017.— État civil (acte de décès).

Jean-Louis Ponnavoy

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