MARLET Jean-Paul, Eugène
Né le 13 avril 1922 à Beaune (Côte-d’Or), exécuté sommairement le 26 août 1944 à Fragnes (Fragnes-la-Loyère, Saône-et-Loire) ; ajusteur ; résistant du détachement FFI Valmy.
Jean Paul Marlet était le fils de Louis Jean-Baptiste, peintre et Marie-Jeanne Micault, ouvrière en robes, domiciliés route de Pommard, à Beaune (Côte-d’Or). Il était célibataire et domicilié à Montchanin-les-Mines (Saône-et-Loire). Il exerçait la profession d’ajusteur.
Il entra dans la Résistance au détachement Valmy, groupe sédentaire de Montchanin-les-Mines le 10 novembre 1943 sous les ordres du lieutenant Léon Allain alias “Hector”. Il accomplit un certain nombre de missions : opérations de sabotage sur la voie ferrée Chagny/Montchanin, destruction de pylônes à haute tension à Montchanin etc. Le 13 mai 1944 il fut arrêté à son domicile par la police allemande pour faits de résistance. Il fut interné à la prison de Chalon-sur-Saône.
Il fut extrait de sa cellule et fusillé avec trois autres personnes, Jean-Louis Dollet, Antonin Michelin et Eugène Thereau, le 26 août 1944 au lieudit “l’Orivent”, sur la commune de Fragnes (Saône-et-Loire).
Il obtint la mention « Mort pour la France » et le titre d’Interné résistant.
Son nom figure sur le monument commémoratif 1939-1945, situé en bordure de la RN 6 au carrefour avec le RD 336 dédié "Aux Martyrs de la Résistance" fusillés des 9 et 26 août 1944, à Farges-lès-Chalon, sur la stèle commémorative, route de Demigny, à Fragnes-la-Loyère (Saône-et-Loire), sur les monuments aux morts, à Beaune (Côte-d’Or) et à Montchanin et sur la plaque commémorative des morts en déportation ou fusillés du canton de Montchanin, dans le cimetière communal, à Montchanin (Saône-et-Loire).
Il entra dans la Résistance au détachement Valmy, groupe sédentaire de Montchanin-les-Mines le 10 novembre 1943 sous les ordres du lieutenant Léon Allain alias “Hector”. Il accomplit un certain nombre de missions : opérations de sabotage sur la voie ferrée Chagny/Montchanin, destruction de pylônes à haute tension à Montchanin etc. Le 13 mai 1944 il fut arrêté à son domicile par la police allemande pour faits de résistance. Il fut interné à la prison de Chalon-sur-Saône.
Il fut extrait de sa cellule et fusillé avec trois autres personnes, Jean-Louis Dollet, Antonin Michelin et Eugène Thereau, le 26 août 1944 au lieudit “l’Orivent”, sur la commune de Fragnes (Saône-et-Loire).
Il obtint la mention « Mort pour la France » et le titre d’Interné résistant.
Son nom figure sur le monument commémoratif 1939-1945, situé en bordure de la RN 6 au carrefour avec le RD 336 dédié "Aux Martyrs de la Résistance" fusillés des 9 et 26 août 1944, à Farges-lès-Chalon, sur la stèle commémorative, route de Demigny, à Fragnes-la-Loyère (Saône-et-Loire), sur les monuments aux morts, à Beaune (Côte-d’Or) et à Montchanin et sur la plaque commémorative des morts en déportation ou fusillés du canton de Montchanin, dans le cimetière communal, à Montchanin (Saône-et-Loire).
Sources
SOURCES : Musée de la Résistance 1940-1945 Stèle de Fragnes (Saône-et-Loire) en ligne.— Articles dans le "Journal de Saône-et-Loire", 1994.— Mémorial Genweb.— État civil (acte de naissance).
Jean-Louis Ponnavoy