SZYMANSKI Edmond
Né le 2 juillet 1925 à Slupca (Pologne), exécuté sommairement le 26 août 1944 à Châtenoy-le-Royal (Saône-et-Loire) ; domestique agricole ; résistant de l’armée secrète (AS).
Edmond Szymanski était le fils de Jean et de Maria Broda. Il était célibataire et domicilié route de Saint-Yan, à Paray-le-Monial (Saône-et-Loire). Il travailla d’abord aux Établissements Fauchon-Baudot, spécialisés dans la fabrication de produits céramiques, à Paray-le-Monial puis entra en 1943 comme domestique agricole dans une ferme appartenant à la famille Théreau, aux Michelets, sur la commune de Poisson (Saône-et-Loire).
Il entra dans la Résistance après le débarquement du 6 juin 1944 en se mettant au service du maquis de l’armée secrète (AS) de Saint-Julien-de-Civry (Saône-et-Loire), au 5ème bataillon du Charollais. Il faisait partie du groupe de Résistance de Paray-le-Monial et fut arrêté au domicile de son employeur, le 8 août 1944 par la Feldgendarmerie de Paray-le-Monial (Saône-et-Loire), en compagnie des fils de la maison Jean Alphonse et Eugène François. Il fut emprisonné le jour même à la prison de Paray-le-Monial puis transféré le 14 août à celle de Chalon-sur-Saône.
Le 26 août 1944, il fut extrait de sa cellule par la Gestapo et fusillé au lieu-dit "Bois de la Garenne", à Châtenoy-le-Royal (Saône-et-Loire).
Son nom figure sur le monument de la Résistance à Châtenoy-le-Royal et sur le monument aux morts, à Paray-le-Monial (Saône-et-Loire).
Il entra dans la Résistance après le débarquement du 6 juin 1944 en se mettant au service du maquis de l’armée secrète (AS) de Saint-Julien-de-Civry (Saône-et-Loire), au 5ème bataillon du Charollais. Il faisait partie du groupe de Résistance de Paray-le-Monial et fut arrêté au domicile de son employeur, le 8 août 1944 par la Feldgendarmerie de Paray-le-Monial (Saône-et-Loire), en compagnie des fils de la maison Jean Alphonse et Eugène François. Il fut emprisonné le jour même à la prison de Paray-le-Monial puis transféré le 14 août à celle de Chalon-sur-Saône.
Le 26 août 1944, il fut extrait de sa cellule par la Gestapo et fusillé au lieu-dit "Bois de la Garenne", à Châtenoy-le-Royal (Saône-et-Loire).
Son nom figure sur le monument de la Résistance à Châtenoy-le-Royal et sur le monument aux morts, à Paray-le-Monial (Saône-et-Loire).
Sources
SOURCES : Bulletin municipal de Poisson n° 39 de janvier 2015.— Musée de la Résistance en ligne 1940-1945, Roland Tartreaux, Chemins de Mémoire en Chalonnais, ANACR, 2016.— Articles du journal de Saône-et-Loire, 1994 et 2004.— Mémorial Genweb.
Jean-Louis Ponnavoy
