Né le 11 août 1909 à Chartres (Eure-et-Loir), mort en action le 17 août 1944 à Chartres ; résistant FFI, Libération-Nord.

Fils d’Ernest Eugène Bonvallet, âgé de vingt-sept ans, et de son épouse Alice Berthe Marie Berland, âgée de vingt-sept ans, alors domiciliés à Chartres, au 2 rue aux Prêtres.
Six résistants périrent au cours des combats pour la libération de Chartres (Eure-et-Loir), le 16 août 1944, dans le secteur du cimetière Saint-Chéron, dont Germain Bonvallet.
« Tué au combat », Germain Bonvallet fut reconnu « mort pour la France » à titre militaire (AC 21 P 27012), et homologué FFI (GR 16 P 73023). Il semble avoir été cité à l’ordre de la division, et reçu à cette occasion la croix de guerre 1939-1945 : « Combattant plein d’audace, volontaire pour les missions dangereuses, a participé au désamorçage des bombes de la porte Morard et à de nombreuses opérations. A été tué à l’attaque du cimetière de Chartres ».
Son nom figure sur les plaques commémoratives apposées sur le mur du cimetière de la rue Saint-Chéron et à l’esplanade de la Résistance, sur le monument aux morts à Chartres.
Voir monographie Chartres (Eure-et-Loir) combats de la Libération 15 au 18 août 1944
Sources

SOURCES. SHD, dossiers adm. résistants. — Sites Internet : Mémoire des hommes ; Mémorial GenWeb. — État civil de Chartres, 3 E 85/354 (acte n° 320).

Frédéric Stévenot

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