BELLIART Jean, Jules, Auguste
Né le 22 juin 1924 à Arras (Pas-de-Calais), mort le 25 août 1944 à Lisors, par Menesgueville (Eure) ; résistant FFI-ORA.
Maquisard du maquis ORA de Mortemer, Jean Belliart aurait été capturé après une tentative d’attaque manquée sur la route de Sainte-Catherine.
« Fusillé », Jean Belliart fut reconnu « mort pour la France » (AC 21 P 18175). Il fut homologué en tant qu’interné résistant (GR 16 P 45127, AC 21 P 705929).
La médaille de la Résistance lui fut attribuée par décret du 24 avril 1946.
Son nom figure à Lisors à la fois sur le monument commémoratif du carrefour de la Croix-Vaubois, et sur le monument commémoratif en hommage à la Résistance, dans la forêt de Lyons, au-dessus de l’abbaye de Mortemer. Elle porte ces mots : « Ici [onze noms] sont morts pour la France 23.24.25 aout 1944 ». Il est aussi indiqué que cette croix fut érigée à l’emplacement où furent fusillés le 23 août 1944 cinq résistants de l’ORA. Le groupe avait attaqué les troupes allemandes en pleine retraite, après les combats de Normandie. Les résistants furent encerclés, pris, torturés et abattus sur place. Trois compagnons de résistance arrêtés quelques heures plus tard subirent le même sort. On ignore quelle place tint Jean Belliart dans cette tragédie.
« Fusillé », Jean Belliart fut reconnu « mort pour la France » (AC 21 P 18175). Il fut homologué en tant qu’interné résistant (GR 16 P 45127, AC 21 P 705929).
La médaille de la Résistance lui fut attribuée par décret du 24 avril 1946.
Son nom figure à Lisors à la fois sur le monument commémoratif du carrefour de la Croix-Vaubois, et sur le monument commémoratif en hommage à la Résistance, dans la forêt de Lyons, au-dessus de l’abbaye de Mortemer. Elle porte ces mots : « Ici [onze noms] sont morts pour la France 23.24.25 aout 1944 ». Il est aussi indiqué que cette croix fut érigée à l’emplacement où furent fusillés le 23 août 1944 cinq résistants de l’ORA. Le groupe avait attaqué les troupes allemandes en pleine retraite, après les combats de Normandie. Les résistants furent encerclés, pris, torturés et abattus sur place. Trois compagnons de résistance arrêtés quelques heures plus tard subirent le même sort. On ignore quelle place tint Jean Belliart dans cette tragédie.
Sources
SOURCES. SHD, Caen et Vincennes. — Sites Internet : Mémoire des hommes ; Mémorial GenWeb
Frédéric Stévenot
