MAZOYER Claude
Né le 22 novembre 1873 à Simandre (Saône-et-Loire), massacré le 4 septembre 1944 à Laives (Saône-et-Loire) ; manœuvre retraité ; victime civile.
œœClaude Mazoyer était le fils de Claude et de Marie Fournier, cultivateurs à Saint-Cyr (Saône-et-Loire). Il se maria le 20 janvier 1898 à Gigny (Saône-et-Loire) avec Marguerite Pauline Lagarde, cultivatrice et en secondes noces le 30 mars 1903 à Nanton (Saône-et-Loire) avec Anne Marceau dont il devint veuf.
Avant son service militaire, il était domicilié à Saint-Vallerin (Saône-et-Loire) et exerçait la profession de tuilier.
Il fut incorporé le 13 novembre 1894 au 56e régiment d’infanterie à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire). Il fut libéré le 18 février 1896 et se retira à Saint-Cyr (Saône-et-Loire) puis à Gigny le 25 avril 1898, à Chatenoy-le-Royal le 12 novembre 1899, à Nanton le 26 juillet 1903, à Laives le 1er avril 1906 et à Sennecey-le-Grand le 14 octobre 1907.
Il fut rappelé à l’activité le 16 août 1914 et passa au 60e régiment d’infanterie le 28 juin 1915 et au 59e RI le 2 avril 1917. Il fut démobilisé le 11 janvier 1919 et se retira à Sennecey-le-Grand (Saône-et-Loire).
Il fut ensuite domicilié à Laives où il travailla comme manœuvre aux établissements Platret.
Il fut arrêté comme otage lors de la bataille pour la libération de Sennecey à laquelle participaient les FFI et fusillé en représailles en compagnie de 15 autres habitants de la commune le 4 septembre 1944, à Laives (Saône-et-Loire).
Son nom figure sur le monument des fusillés, à Laives (Saône-et-Loire).
Avant son service militaire, il était domicilié à Saint-Vallerin (Saône-et-Loire) et exerçait la profession de tuilier.
Il fut incorporé le 13 novembre 1894 au 56e régiment d’infanterie à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire). Il fut libéré le 18 février 1896 et se retira à Saint-Cyr (Saône-et-Loire) puis à Gigny le 25 avril 1898, à Chatenoy-le-Royal le 12 novembre 1899, à Nanton le 26 juillet 1903, à Laives le 1er avril 1906 et à Sennecey-le-Grand le 14 octobre 1907.
Il fut rappelé à l’activité le 16 août 1914 et passa au 60e régiment d’infanterie le 28 juin 1915 et au 59e RI le 2 avril 1917. Il fut démobilisé le 11 janvier 1919 et se retira à Sennecey-le-Grand (Saône-et-Loire).
Il fut ensuite domicilié à Laives où il travailla comme manœuvre aux établissements Platret.
Il fut arrêté comme otage lors de la bataille pour la libération de Sennecey à laquelle participaient les FFI et fusillé en représailles en compagnie de 15 autres habitants de la commune le 4 septembre 1944, à Laives (Saône-et-Loire).
Son nom figure sur le monument des fusillés, à Laives (Saône-et-Loire).
Sources
SOURCES : Le journal de Saône-et-Loire du 7 septembre 2013 Laives en mémoire des 16 habitants fusillés.— Mémorial Genweb.— Registres matricules militaires.— État civil (acte de naissance).
Jean-Louis Ponnavoy
