LESSAQUE Jean, Lucien
Né le 19 décembre 1923 à Moroges (Saône-et-Loire), exécuté sommairement le 19 juillet 1944 à Crissey (Saône-et-Loire) ; résistant des Forces françaises combattantes (FFC).
Jean Lessaque était le fils de Claude Jules et Marie Grivaux. Il était célibataire et domicilié à Moroges (Saône-et-Loire).
Il entra dans la Résistance dès 1943 et effectua des sabotages puis il au printemps 1944, il devint agent du réseau “Mason-Porthos”et s’engagea au maquis de “Cruchaud” à Bissey-sous-Cruchaud (Saône-et-Loire). Il faisait partie du même groupe que Maurice Bonnet et le 9 juin 1944, au retour d’une mission avec trois autres maquisards, dont Maurice Bonnet, il fut blessé au pied dans un engagement avec la Milice à Givry (saône-et-Loire). Il fut fait prisonnier puis interné à la prison de Chalon-sur-Saône. Le 19 juillet 1944, il fut extrait de sa cellule par la Gestapo et fusillé à 19h30 d’une rafale d’arme automatique au lieudit “Les Parjuillots”, à Crissey (Saône-et-Loire).
L’acte de décès fut dressé le lendemain comme étant celui d’un inconnu, sur la déclaration d’Auguste Jolivet, jardinier maraîcher à Crissey. Il fut identifié par jugement rectificatif de décès du Tribunal civil de Chalon-sur-Saône du 27 mars 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France ».
Il fut homologué aux Forces françaises combattantes (FFC).
Son nom figure sur la stèle commémorative érigée route de Virey-le-Grand et portant l’inscription "ici deux français, Maurice BONNET et Jean LESSAQUE tombèrent lâchement fusillés le 18/07/1944 par les agents de la gestapo. Français souvenez-vous.", à Crissey et sur le monument commémoratif aux patriotes fusillés avenue John-Fitzgerald-Kennedy, à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire).
Il entra dans la Résistance dès 1943 et effectua des sabotages puis il au printemps 1944, il devint agent du réseau “Mason-Porthos”et s’engagea au maquis de “Cruchaud” à Bissey-sous-Cruchaud (Saône-et-Loire). Il faisait partie du même groupe que Maurice Bonnet et le 9 juin 1944, au retour d’une mission avec trois autres maquisards, dont Maurice Bonnet, il fut blessé au pied dans un engagement avec la Milice à Givry (saône-et-Loire). Il fut fait prisonnier puis interné à la prison de Chalon-sur-Saône. Le 19 juillet 1944, il fut extrait de sa cellule par la Gestapo et fusillé à 19h30 d’une rafale d’arme automatique au lieudit “Les Parjuillots”, à Crissey (Saône-et-Loire).
L’acte de décès fut dressé le lendemain comme étant celui d’un inconnu, sur la déclaration d’Auguste Jolivet, jardinier maraîcher à Crissey. Il fut identifié par jugement rectificatif de décès du Tribunal civil de Chalon-sur-Saône du 27 mars 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France ».
Il fut homologué aux Forces françaises combattantes (FFC).
Son nom figure sur la stèle commémorative érigée route de Virey-le-Grand et portant l’inscription "ici deux français, Maurice BONNET et Jean LESSAQUE tombèrent lâchement fusillés le 18/07/1944 par les agents de la gestapo. Français souvenez-vous.", à Crissey et sur le monument commémoratif aux patriotes fusillés avenue John-Fitzgerald-Kennedy, à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire).
Sources
SOURCES : SHD Vincennes GR 16P 367764.— Musée de la Résistance en ligne 1940-1945 : Stèle à la mémoire de Maurice Bonnet et Jean Lessaque, Crissey (Saône-et-Loire).— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
Jean-Louis Ponnavoy
