DUMONT Robert, Marcel
Né le 9 janvier 1903 à Deuil-la-Barre (Val d’Oise), mort en action le 31 août 1944 à Gilocourt (Oise) ; résistant FFI.
Robert Dumont, au centre gauche avec un béret et une mitraillette.
Clichés fournis par son petit-fils, Denis Parietti.
Obsèques de Robert Dumont.
Robert Dumont était le fils de Raymond et Jeanne Dumont, ouvriers agricoles. Il passa son enfance à Crouy (Aisne) et obtint le certificat d’études. Après un apprentissage à la sucrerie de Buc- le-Long , il rejoignit celle de Vauciennes où il apprit la mécanique.Il épousa Eugénie Desprez, le couple eut une fille née le 23 mars 1929. Il devint chef de l’atelier mécanique de la sucrerie de Vauciennes, où il demeurait dans les habitations de l’usine.
Chef de groupe dans la résistance FFI , il appartenait au groupe de Vauciennes-Vaumoise.
Lors de la retraite de l’armée allemande à la fin du mois d’août 1944, à la vue de l’arrivée des soldats allemands venant de Crépy-en-Valois et se dirigeant vers Compiègne, Robert Dumont tira avec son fusil mais fut abattu près du carrefour à l’entrée du village de Gilocourt. Le commandement allié et les FFI avaient sous-estimé l’importance des troupes allemandes.
« Mort en attaquant l’ennemi » le 31 août 1944, il fut reconnu Mort pour la France et homologué adjudant FFI.
Il a été inhumé le 4 septembre au cimetière de Vauciennes. Ses cendres ont été transférées au cimetière de Crouy (Aisne) à la mort de son épouse en 1973.
Une stèle commémorative a été érigée près de l’endroit où il fut tué à Gilocourt. À Vauciennes, son nom est gravé sur le monument aux morts et à Crouy sur la plaque commémorative située dans l’église.
Chef de groupe dans la résistance FFI , il appartenait au groupe de Vauciennes-Vaumoise.
Lors de la retraite de l’armée allemande à la fin du mois d’août 1944, à la vue de l’arrivée des soldats allemands venant de Crépy-en-Valois et se dirigeant vers Compiègne, Robert Dumont tira avec son fusil mais fut abattu près du carrefour à l’entrée du village de Gilocourt. Le commandement allié et les FFI avaient sous-estimé l’importance des troupes allemandes.
« Mort en attaquant l’ennemi » le 31 août 1944, il fut reconnu Mort pour la France et homologué adjudant FFI.
Il a été inhumé le 4 septembre au cimetière de Vauciennes. Ses cendres ont été transférées au cimetière de Crouy (Aisne) à la mort de son épouse en 1973.
Une stèle commémorative a été érigée près de l’endroit où il fut tué à Gilocourt. À Vauciennes, son nom est gravé sur le monument aux morts et à Crouy sur la plaque commémorative située dans l’église.
Sources
SOURCES : AVCC Caen 21 P 176800 (n.c.). — SHD Vincennes, GR 16 P 200326. — Renseignements fournis par son petit-fils Denis Parietti février 2019. — MémorialGenweb.
Annie Pennetier
